Lye devait se rendre à l'évidence. Une évidence qui l'attristait certes mais une évidence néanmoins : Les jeunes ne communiquait plus que par écran interposés. C'était aussi bien vrais pour ce qui était de simples discussion entres amis que pour les démarches professionnelles. De nos jours tout passait par ces boîtes carré appelé ordinateur qui n'était pas sans rappeler les modulateurs à onde sinusoïdales à une certaines époque. Néanmoins l'usage n'était pas le même et Lye bien que très jeune physiquement, n'avait pas 20 ans.

Il décida donc de passer une petite annonce dans le journal. Une petite annonce codée pour que seul les vampires puissent la lire. Pour le commun des mortels, cela ressemblait à un fouillis de lettres incompréhensibles. Au bout de quelques jours seulement, une réponse lui était parvenu. Il avait prit rendez-vous avec celle-ci afin de parler du projet et des termes pour lesquels Lye avait fait ces dites démarches.

Une fois la nuit tombée, c'est sur le toit de son bâtiment qu'on les trouvais tout les deux. La néonate du nom de Camille s'était présentée. Comme toute les femmes respectables, elle avait été traitée avec le plus grand des respects et une pointe d'élégance. L'ambiance avait un petit quelque chose de romantique mais surtout et avant tout de chic. Un soupé sous un ciel étoilé, avec aucun autre invités sur le toit que la serveuse. Que dire de plus.

- Enchanté mademoiselle et merci d'avoir répondu à mon invitation

Camille regarde la table couverte de mets délicats d'un air dubitatif. Ses narines tressaillent aux senteurs sucrées et fruités qui s'échappent d'une coupe de fruits située près d'elle. Elle prend une pomme par curiosité - que ça faisait longtemps qu'elle n'avait pas pris entre ses doigts une denrée alimentaire ! L'homme en face d'elle n'en manque pas une miette. La serveuse reste à proximité, d'une stature impeccable. Camille se sent presque misérable dans son hoodie trop grand pour elle -mais si confortable - qui représente Pikachu en pleine attaque éclaire sur fond noir, et avec son jean légèrement déchiré. Elle sait que le sang de Yoko embellit son apparence, lui apporte cette aura magnétique digne des Toréadors, mais tout de même, elle n'avait pas choisi les bons vêtements pour rencontrer ce caïnite. Elle ne pensait pas que ça allait être si "officiel".

Elle ne s'attendait pas à une telle rencontre. Ce message dans l'annonce paraissait alléchante sur le papier, mais était restée bien vague. Elle avait bien compris que des compétences numériques étaient recherchées, par un caïnite en plus, coup de chance pour peut-être, se trouver un allié dans son but ultime de pénétrer plus en profondeur le monde vidéo-ludique. Ce vampire avait les moyens, il le montrait assez avec ce dîner "romantique" cliché digne d'un Fifty shades of grey. Mais il ne connaitrait pas la référence. Si elle accepte cette mission, il devrait l'aider en retour....

Elle lève les yeux vers son hôte, froide et pragmatique.
- C'est avec plaisir. Pourquoi voulez-vous me voir, monsieur... ? quel est votre nom ?

- Lye Graham. Voyez vous je gère ce club privé qu'est le Hellfire Club. Ici le personnelle est traité aux petits oignons mais j'aimerais propager la bonne parole de ces lieux au plus de gens possible. Je ne suis pas très aux faits de la modernité, mais j'ai constater avec regret l'inefficacité de certains médias à rejoindre la clientèle que je vises. Je me retrouve ainsi démuni. Je ne comprend rien à ces nouveaux appareils. On m'a parler de sites, de forums...de discorde. Tant de termes qui ne me sont pas familier. Je sais simplement que la plupart des jeunes femmes de nos jours utilisent ce moyen de communication aussi bien pour communiquer que pour acheter des futilités. Serait-il possible d'y instauré un vague de publicité ou quelque chose de ce genre ?

Bien que l'ambiance du lieu incitait à la luxure et aux plaisirs interdit plus qu'à autres choses, j'étais là pour affaires et j'avais entré en communication avec quelqu'un doué dans les technologies actuelles et ce n'était pas un hasard que parmi tout les choix qui s'était offert à moi j'avais choisi une néonate. Si jamais l'identité de cette personne venait à se savoir, le fait qu'elle soit de sexe féminin allait être en adéquation avec l'image du culte désiré sans compter le fait qu'elle soit néonate m'assurait que je n'aurai pas à craindre un poignard dans le dos. J'ignorais tout de son clan mais les seuls clan à avoir pieds dans la modernité étaient Nosferatu,Toreador,Ventrue gangrel et brujah. J'hésitais entre Ventrue ou toréador mais dans tout les cas, il fallait savoir se faire des amis dans une ville aussi grande que Paris.

Sa tenue des plus ample qui la recouvrait de haut en bas me rappelait une vie que je n'avais jamais connu en tant que simple homme. Chaque pas que je faisais à l'extérieur en pleine nuit...chaque mortel me rappelait inévitablement l'époque d'ou je venais. Une époque ou les codes vestimentaire tel que le sien n'existait pas tout simplement car l'être humain en moyen voulait prouvé ses avoirs et ses connaissances.

- Quel serait votre prix ?  

- Avant de parler du prix, pourriez-vous me dire en quoi consiste votre organisation ?

Rien ne se trahit sur le visage de Camille. Et pourtant. Qu'est-ce que cette secte ? Pourquoi viser des jeunes femmes ? Son sang ne fait qu'un tour malgré sa froideur apparente. Il est vrai qu'elle n'a croisé que des femmes dans cette tour. Quasiment. Elles ne semblaient pas maltraitées mais elle est certaine que si elle grattait ce vernis, elle découvrirait un tableau loin d'être aussi reluisant.

Elle regarde le ciel étoilé. Quelques instants. Paris est calme. Juliette est dans le bâtiment d'en face, à les observer avec des jumelles, prête à sauter de fenêtres en fenêtres pour la rejoindre à la moindre embrouille. Elle réprime un sourire complice. Ma chère soeur, je pense que là, tu avais raison, on est tombé sur un sacré connard envers les femmes. Mais attendons de voir.

Elle attend la réponse de son hôte, tout en jouant distraitement avec la pomme, la lacérée légèrement par quelques coups d'ongles bien placés.

J'esquissa un sourire à sa question. Un sourire qui dissimulait très mal sa malice. La jeune néonate était curieuse, je pouvais malgré tout la comprendre. Cet endroit était une curiosité en son genre. Je pris moi aussi une pomme en prenant soin de choisir la plus belle qui soit dans le lot. On m'informa bien rapidement à l'oreille qu'une intrue avait été repéré

- Voyez vous chère Néonate... j'ignore surement beaucoup de choses de vous. Autant que vous pouvez en ignorer de moi. La plupart d'entre vous ont même jamais l'occasion de croiser un Sétite en face à face comme vous en ce moment avant de devenir Ancillae. C'est pas qu'on soit si rare ou un truc du genre. C'est simplement qu'à votre jeune âge vous êtes... passionné, enivré par vos nouvelles capacités et qu'un Setite comme moi adore ce genre de choses presqu'autant que nous tenons à nos traditions. Mon culte, c'est comme toi et tes nombreux...fans ou je sais pas trop quel est le dernier terme à la mode. Je lui fis face et posa mon regard dans le sien. Le regard des Setite était reconnu. Cette capacité instinctive que nous avions à paralyser les gens d'un simple regard. C'était presque aussi inné chez nous que notre appétit pour le vice.

- Vois-tu... toi et moi sont comme... des Pomiculteurs. Notre source de revenu est ce à quoi nous tenons le plus. Par vice ou par fierté, il nous arrive de préférer mordre dans nos propre fruits. Dis-je tout en croquant dans la pomme que j'avais en main sans la quitter du regard. Elle savait parfaitement ce dont je parlais. Se nourrir d'une communauté qui nous est entièrement dévoué. La Prédation d'Osiris comme les gens de la camarilla la nommait. Était très répandu aussi bien chez les Setites que chez les Toréadors. Néanmoins comme tout bon Pomiculteur chère néonate... nous avons la connaissance du fruit. Nous savons qu'une pomme trop mure ou trop peu mure ne fait pas un bon met. Nous savons aussi qu'il y a 1001 utilités à une pomme.  

Je me levai quittant du regard la jeune femme relâchant ainsi volontairement l'étreinte de mon regard sur elle.

- Donc... en définitive, je dirais que officieusement, cet endroit est un verger. Officiellement... c'est un club très select qui n'accepte que sur invitation. Bien sure la partie club n'est pas un mensonge, le club est ouvert à tout enfant de la nuit ou pomme de sang. Cette endroit est un refuge. Pas que pour moi mais pour tous. Personne n'est forcé de nous rejoindre. Toutefois, tu te doutes bien que les invitations ne sont offert qu'aux pommes de sang et à leur propriétaire. La publicité que je recherche néanmoins... viserait plutôt les hommes entre 18-35 ans. Comme vous l'avez surement constaté... je sais m'attirer la faveur des femmes mais beaucoup moins celle des hommes. Je ne suis pas sexiste, j'ai simplement à toucher un public aussi large que je le souhaiterais

Je regardai en direction du bâtiment d'en face. J'entendais divers informations sur ceux de mon clan qui s'assuraient de la sécurité. L'étau se refermait progressivement autour d'un Caïnite qui surveillait notre conversation.

- Dite moi, vous êtes au courant des traditions de la camarilla ? Je sais que vous êtes une néonate mais j'ignore à quel point vous êtes... formée ou non. Elles ne sont au nombre que de 6 mais celle qui m'intéresse en ce moment est la deuxième. La tradition du domaine. Attend que je me souviennes... Dis-je en levant les yeux vers le ciel un court instant.Ton domaine ne regarde que toi. Chacun t'y doit le respect et nul ne peut y mettre ta parole en doute. Ce qui revient à dire... que la caïnite qui nous épies du bâtiment d'en face, enfreint sans scrupule une loi du prince. Que crois-tu qu'il en fera si je la dénonce au prince ? D'ailleurs serait-elle avec toi ? Pour ma part je ne crois pas la connaitre.

[Jet de dès perso : 2 sur 6 (voir les dès d'action
) : réussite complète]

Les agents de Lye pénètrent dans la pièce. Une brise les accueille de la fenêtre ouverte. La nuit est d'un calme, d'une tranquillité déconcertante alors qu'ils sont certains que se cachait ici une descendante. Aucune trace. Rien. Seulement cette brise.


Camille regarde le ciel étoilé, ignorant en partie ce que dit le Sethite sur la fin. Je crois en toi, Juliette.La pomme crisse entre ses doigts délicats alors que se répercutent dans ses lentilles de couleur les rayons de la lune.

- Cibler les hommes... pour constituer vos stocks de calices ambulants. J'ai alors deux questions, parce que vous voyez, je n'ai pas beaucoup de principes, monsieur, mais j'en ai. Je n'aime pas que les femmes soient des objets. Qu'est-ce qui me prouve que ce n'est pas le cas ? Et deuxièmement, si je remplis cette mission, qu'est-ce que j'y gagne ?.

Elle a l'air assurée, mais elle n'est pas rassurée pour un sou. Elle espère que sa sœur ait réchappé à ce tordu. Bordel, elles ne savaient pas jusqu'oû s'étendait le domaine de Lye. Et Camille espère qu'elle ne montre pas trop d'aplomb face à cet ancien. Elle joue avec le feu, mais, il lui casse sincèrement les  burnes à jacasser comme un riche qui ne se prend pas pour de la merde. Et elle est intimement convaincue, au fur et à mesure des secondes qui passent, qu'il aime avoir ce pouvoir sur les femmes. Yoko, si riche, si élégante, ne se comporte pas d'une manière si pompeuse, et pourtant, on la sent puissante.

- Les femmes des objets ? Objet de culte et désir peut-être... mais pourriez vous vraiment me reprocher une telle chose alors que vous êtes vous mêmes à votre manière l'objet de votre propre culte. Vous semblez me méprendre pour un esclavagiste alors que je suis plutôt un berger... tout comme vous de ce que j'en sais. Je guide les mortels avec des mots, des règles, je leur offre un toit, un emploi, de quoi vivre alors que certains peinaient à survivre dans la rue. Tout ce que je leur demande en retour est la fidélité. Je ne me nourris que sur une d'entres elles. Je les protèges ni plus ni moins. Je leur offre une seconde option à la vie qu'ils avaient. À aucun moment elles ne sont forcées. Elles sont d'ailleurs libre d'aller et venir à leur guise. C'est ma sire qui m'a initié à cette pratique. Elle voulait que les femmes aient la chance de s'épanouir quelque soit l'époque. lorsqu'elle demanda ce qu'elle y gagnait, je l'observai silencieusement un bref instant.

- De l'argent ? Je ne puis déterminer votre âge exacte mais vos nombreux tics et votre humanité trahisse le faite que vous êtes sans nul doute une néonate. Avec l'âge d'un être humain on a très peu d'argent la plupart du temps. Après, bien sure je peux me tromper. Si vous avez une autre idée de prix en tête je suis ouvert aux négociations. C'est bien ce pourquoi je vous ai invités ici.

Camille écoute avec attention, les lèvres pincées, le regard fixé sur le Séthite. Ce qu'il disait était cohérent, mais...

- Un berger ? Jésus s'était aussi qualifié de berger et voilà qu'il a mis en place une religion asservissant les hommes. À grand coup d'aimer son prochain. Mouais. Je suis certes devenue un objet quand j'ai crée mon personnage en ligne mais c'est ce que moi j'ai choisi, moi, en pleine possession de mes moyens.

La perspective de gagner de l'influence, de l'argent, est appétissante, cruciale pour son dessein personnel, mais elle est scrupuleuse. Juliette la gifflerait pendant des nuits et des nuits si elle apprenait que ce Lye était en effet une ordure sexiste de la pire espèce, et Camille ne serait pas ravie non plus d'aider un tel pourri. Elle est certes une néonate mais elle n'est pas née de la dernière pluie. Elle avance son buste pour se rapprocher de Lye et le regarde droit dans les yeux.

- Imaginons qu'une femme soit rentrée dans votre club par nécessité, par faiblesse, parce qu'elle n'avait pas les moyens pécuniers pour vivre, elle rentre dans vos rangs, elle a un job, de la nourriture, un toit au-dessus de sa tête. Soit. Si elle souhaite partir pour reprendre sa vie en main que faites-vous ? Vous la laissez partir ? Ou elle a signé un contrat à vie sans s'en rendre compte ? Vous avez parlé de fidélité donc je suppose que c'est ad vitam aeternam.

À mesure que ses paroles sortent de ses lèvres, une certaine colère monte aussi. Elle ne supporte pas de penser à des femmes victimes. La Bête est proche, appuyant sur ses crocs Elle regarde rapidement sur la table s'il y a des coupes de sang pour se subsenter et réfréner la bête.

Le membre 'Camille Garnier' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

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'chasse' :

- " Une religion asservissant les hommes " ? Mademoiselle... si vous croyez qu'une seule religion dans l'histoire n'a pas eu pour but d'asservir la population ou de la diriger dans une direction désiré par son créateur alors c'est que vous êtes trop jeune pour avoir prit le temps de le réaliser ou d'y penser. Vous et moi n'avons certes pas connu cet illustre homme, mais la réalité reste la même : si la population pouvait réellement se priver d'un guide, pourquoi y'en aurait t-il partout sinon ? qu'il s'agisse du monde du travail avec les hommes de chantiers ou un superviseur est mis en place, ou d'une simple unité de secrétariat dans une obscure compagnie doté de son ou sa secrétaire en chef(fe). Tout être pensant n'a que deux choix : s'écarter vers l'obscurité ou suivre celui qui tient une torche. Peut-être n'en avez-vous pas conscience mais il en est de même pour vous avec vos fans de ce que j'en sais. Alors que vous êtes ni plus ni moins qu'un animateur télé moderne... vous avez pourtant votre propre regroupement de gens prêt à vous suivre dans multiples évènements même si nous savons tout les deux qu'une signature de ce genre n'a pas très grande valeur. Pour ce qui est de ce que vous avez dit "en pleine possessions de leur moyens... être en pleine possession de ses moyens est théorique". Tout le monde est affecté par la vie en générale, la pluie, une journée de merde au boulot, une rupture amoureuse ou un compte en banque dangereusement bas. En quoi ma méthode diffère de la votre ? Je ne leur force pas la main, je ne leur fait pas prendre quoi que ce soit qui puisse altéré leur pensée. Elles sont donc en pleine capacités.

Elle et moi nous ressemblions, mais elle semblait la seule à ne pas être au courant que les Toréadors et les Setites ont des points communs. Libre à elle de se voiler la face mais ce genre de Caïnite ne saurait survivre bien longtemps dans une réalité ou certaines civilisation s'étaient élevée grâce à des mensonges.

- Si cette femme tient sa langue à propos de ce culte et de ce que vous et moi sommes. Elle pourra vivre la vie la plus normale qui soit. Elle pourra même venir nous présenter son fils et le géniteur de celui-ci. Nous lui offriront même l'aide dont elle a besoin. Ici la population du culte est basse parce que pour y être accepté, il y a des conditions à remplir qui sont dans la vie moderne bien difficile à remplir pour certains. Entres autres, il ne faut être intoxiqué d'aucune manière. Je ne parle pas de ne jamais avoir bu ou de ne jamais avoir respiré l'air d'une herbe jugé illégale. Je parle de ne pas y être accroc. Nous prenons occasionnellement sous notre aile des membres qui démontrent vraiment vouloir s'en sortir et ils ne sont accepté ici que si ils y arrivent. Nous laissons les faibles aux autres. Les Berger guide leur troupeau mais ne mettent pas celui ci en danger pour une brebis qui boite ou qui se tient à peine debout. Croyez moi, ici rien n'est dissimuler. Ce culte est une échelle avec très peu de marches. Il y a les volontaires et les initiés et l'un sert simplement à déterminé ceux qui seront accepté ou non. Le seul contrat signé à vie ici est une loi du silence. Contrat auquel tout Caïnite entrant dans un domaine souscrit lui même, la mascarade.

Plus le temps passait, plus je la voyait pâlir. Elle me semblait même se faner comme une rose arracher à son rosier et laisser à l'air libre trop longtemps.

- Camille, je vous en pris nourrissez vous. Une femme en appétit est toujours moins appétissant pour les yeux vous en conviendrez...

J'appelai d'un geste de la main un homme silencieux et lui chuchotai d'amener une certaines alycia. La jeune femme arriva un sourire aux lèvres et les yeux scintillant comme des étoiles. Puis elle sourit de plus belle en voyant sa star du moment préféré.

- Omg omg ! Vous connaissez Silverwolf !? Je croyais l'avoir vue monter mais je n'étais pas sure ! Alors vous parliez de quoiiiiii ?

Je haussai un sourcil en regardant Camille lui offrant simplement un repas qui lui soit destiné.