L’appel de la nature [pv Sorin]
@ Friedrich Vogt
Clan : Gangrel
Feuille de personnage
Santé :
(4/5)
Humanité:
(3/5)
Influence: 1
L’appel de la nature
Firedrich ξ Sorin
Alix… Il soupire en pensant à elle. Les pieds grattant la litière de la forêt. Il lui suit un homme pour le moins atypique qui lui sert de guide. Firedrich a les mains chargées de caisses. Elle a du toupet, ça il peut bien le reconnaitre. L’Allemand l’a sauvé dans leur pays d’origine et maintenant c’est elle qui lui quémande une faveur. Il a bien essayé de faire celui qui n’était pas intéressé… Mais elle sait y faire la gamine.
- Mais Rich ! Tu ne peux pas les laisser comme ça ! J’ai même vue des belettes sous cette maison ! Et tout va être détruit, tu te rends compte ? Tout !
A ce souvenir il s’enfonce un peu plus entre les arbres. Plutôt que s’occuper du voisinage, elle ferait mieux de se concentrer sur ses études. Et quand elle ne joue pas les sauveuses d’animaux le jour, elle passe sa nuit à envoyer des textos. Il ne s’attendait pas à a endosser un rôle de daron dans sa vie de vampire…
Ils traversent une petite clairière et passent des bancs de camés qui ont laissés leurs canettes un peu partout autour d’eux. Tant qu’a jouer l’adulte responsable Friedrich leur foutrait bien des claques à ceux-là. « Fumer oui, s’éclater d’accord mais respecter les autres, bordel. » A la place il allonge ses pas pour rejoindre son guide. Un certain Sorin qui s’y connaitrait pas mal en monde sauvage.
Un type qui pourrait dégoter pour des animaux sauvage une zone de rêve dans Paris. Un autre Gangrel a ce qu’il parait. Quand Firedrich arrive a son niveau il lui jette un regard assez froid mais intéressé.
- C’est encore loin ? Ca pèse une tonne ses caisses. Je pense que je soulève plus de bois que de hérissons et de mulots…
- Mais Rich ! Tu ne peux pas les laisser comme ça ! J’ai même vue des belettes sous cette maison ! Et tout va être détruit, tu te rends compte ? Tout !
A ce souvenir il s’enfonce un peu plus entre les arbres. Plutôt que s’occuper du voisinage, elle ferait mieux de se concentrer sur ses études. Et quand elle ne joue pas les sauveuses d’animaux le jour, elle passe sa nuit à envoyer des textos. Il ne s’attendait pas à a endosser un rôle de daron dans sa vie de vampire…
Ils traversent une petite clairière et passent des bancs de camés qui ont laissés leurs canettes un peu partout autour d’eux. Tant qu’a jouer l’adulte responsable Friedrich leur foutrait bien des claques à ceux-là. « Fumer oui, s’éclater d’accord mais respecter les autres, bordel. » A la place il allonge ses pas pour rejoindre son guide. Un certain Sorin qui s’y connaitrait pas mal en monde sauvage.
Un type qui pourrait dégoter pour des animaux sauvage une zone de rêve dans Paris. Un autre Gangrel a ce qu’il parait. Quand Firedrich arrive a son niveau il lui jette un regard assez froid mais intéressé.
- C’est encore loin ? Ca pèse une tonne ses caisses. Je pense que je soulève plus de bois que de hérissons et de mulots…
@ Sorin Greylord
Clan : Gangrel
Feuille de personnage
Santé :
(5/5)
Humanité:
(4/5)
Influence: 1
Sorin émit un son de lassitude, de mécontentement. Il n'était à moitié enchanté d'être là ce soir. Il avait du rejoindre Friedrich, un vampire gangrel dont leur objectif commun allait être de relâcher des animaux en pleine nature. La réputation de l'ancien prince de la jungle l'avait précédé, doublé, il s'était vite fait remarqué en tant que " Le nouveau Tarzan de Paris " et ça n'était pas tombé dans les oreilles de sourds. Il avait vite été interpellé par quelques vampires des alentours du bois, lui demandaient plusieurs services. Paris était une grande ville civilisé avec plein de monde et de ‘technologie’, un endroit peu favorable aux animaux sauvages. Sorin était souvent appeler pour les aider à y vivre ou à retrouver leur véritable foyer.
C’était un honneur, une fierté, il se sentait reconnu dans son histoire, dans ce qu’il était vraiment dans son coeur mais parfois c’était étouffant. Il n’avait plus une minute à lui, devait courir à droite, à gauche. Impossible de faire une pause, ses nuits étaient chargées, un emploi du temps de ministre.
Le jeune homme aux longs cheveux d’or avait cependant le coeur sur la main, un amour débordant pour les animaux, la nature. Ils faisaient partis de lui, primaient même sur sa nature vampirique, il était incapable de refuser ce genre de mission.
Il avait rejoint l’autre Gangrel à la lisière du bois, l’aida à porter des grosses caisses. Il en avait prit deux dans les bras, elles étaient assez lourdes, peu pratique pour se déplacer. Sorin marcha étrangement, en canard, se cassait le cou à le pencher sur le coté comme un malade. Il n’eut d’autre choix, ce fut le seul moyen de voir la route devant lui, de ne pas se prendre un arbre en pleine face. C’était encore plus compliqué à supporter avec les petits couinements venant de l’intérieurs des gros cartons. C’était les petits animaux en question, ils en pouvaient plus de rester enfermé, clamaient leur liberté bien aimée. Un supplice pour le prince de la nature, ça lui faisait mal au coeur, il n’aimait pas ça et faisait tout pour se dépêcher.
“ Attends !”
La plainte de son compagnon du soir était la goutte qui fit déborder le vase, qui provoqua une petite colère. Il ne s’était pas gêné de lui lancer deux ou trois regards noirs, de le renvoyer sur les roses. Sorin n’avait aucune patience avec les êtres comme lui ( humains ou vampires), les supportait lui était encore assez compliqué. Leur présence, leur aura le mettait dans un certain malaise, une gêne inexplicable. Le jeune immortel avait reprit sa marche, ne fit plus attention à l’autre, ignora la moindre potentielle plainte sur la longueur du chemin. Il n’avait pas tout à fait tord dans le fond, Sorin l’admettait en silence, commençait lui même en avoir marre. C’était long, pénible, il avait hate d’arriver à destination.
“ voila ! on y est”
Une bonne grosse demi heure de trajet et la joie monta dans l’esprit, l’âme du jeune vampire aux longs cheveux d’or. L’endroit sous ses yeux, ce magnifique havre de paix était parfait pour les animaux.
“ viens et fais comme moi”
Il s’avança au centre de cette grande clairière, déposa les caisses les unes à cotés des autres. Il prit son poignard, l’arme qui ne le quittait, et les ouvrit d’un coup sec.
“ voila..”
Le meilleur moment de la soirée, celui de voir tous les petits animaux sortir, partir dans les bois. Ca faisait plaisir à voir
“ Les nourrir.. Comment ?”
Même s’il gardait un lien si particulier avec la nature et les animaux, le jeune vampire ne connaissait pas tellement les bois de Paris, eut un doute sur un point; il n’était pas tout à fait sur que cet endroit avait vraiment toutes les ressources pour nourrir ces petites bêtes
“ Aides pour quoi..Encore?”
C’était un honneur, une fierté, il se sentait reconnu dans son histoire, dans ce qu’il était vraiment dans son coeur mais parfois c’était étouffant. Il n’avait plus une minute à lui, devait courir à droite, à gauche. Impossible de faire une pause, ses nuits étaient chargées, un emploi du temps de ministre.
Le jeune homme aux longs cheveux d’or avait cependant le coeur sur la main, un amour débordant pour les animaux, la nature. Ils faisaient partis de lui, primaient même sur sa nature vampirique, il était incapable de refuser ce genre de mission.
Il avait rejoint l’autre Gangrel à la lisière du bois, l’aida à porter des grosses caisses. Il en avait prit deux dans les bras, elles étaient assez lourdes, peu pratique pour se déplacer. Sorin marcha étrangement, en canard, se cassait le cou à le pencher sur le coté comme un malade. Il n’eut d’autre choix, ce fut le seul moyen de voir la route devant lui, de ne pas se prendre un arbre en pleine face. C’était encore plus compliqué à supporter avec les petits couinements venant de l’intérieurs des gros cartons. C’était les petits animaux en question, ils en pouvaient plus de rester enfermé, clamaient leur liberté bien aimée. Un supplice pour le prince de la nature, ça lui faisait mal au coeur, il n’aimait pas ça et faisait tout pour se dépêcher.
“ Attends !”
La plainte de son compagnon du soir était la goutte qui fit déborder le vase, qui provoqua une petite colère. Il ne s’était pas gêné de lui lancer deux ou trois regards noirs, de le renvoyer sur les roses. Sorin n’avait aucune patience avec les êtres comme lui ( humains ou vampires), les supportait lui était encore assez compliqué. Leur présence, leur aura le mettait dans un certain malaise, une gêne inexplicable. Le jeune immortel avait reprit sa marche, ne fit plus attention à l’autre, ignora la moindre potentielle plainte sur la longueur du chemin. Il n’avait pas tout à fait tord dans le fond, Sorin l’admettait en silence, commençait lui même en avoir marre. C’était long, pénible, il avait hate d’arriver à destination.
“ voila ! on y est”
Une bonne grosse demi heure de trajet et la joie monta dans l’esprit, l’âme du jeune vampire aux longs cheveux d’or. L’endroit sous ses yeux, ce magnifique havre de paix était parfait pour les animaux.
“ viens et fais comme moi”
Il s’avança au centre de cette grande clairière, déposa les caisses les unes à cotés des autres. Il prit son poignard, l’arme qui ne le quittait, et les ouvrit d’un coup sec.
“ voila..”
Le meilleur moment de la soirée, celui de voir tous les petits animaux sortir, partir dans les bois. Ca faisait plaisir à voir
“ Les nourrir.. Comment ?”
Même s’il gardait un lien si particulier avec la nature et les animaux, le jeune vampire ne connaissait pas tellement les bois de Paris, eut un doute sur un point; il n’était pas tout à fait sur que cet endroit avait vraiment toutes les ressources pour nourrir ces petites bêtes
“ Aides pour quoi..Encore?”
@ Friedrich Vogt
Clan : Gangrel
Feuille de personnage
Santé :
(4/5)
Humanité:
(3/5)
Influence: 1
L’appel de la nature
Firedrich ξ Sorin
Son guide lui répond d’un ton sec et puis le fusille du regard. Surprit Friedrich se tait. L’autre ne lui donne pas plus d’explication et continue à avancer. Finalement, il n’est pas le seul vampire taciturne de la région. Ca se fête. S’il s’agissait d’un concours d’endurance, il pouvait bien serrer les dents encore un peu. Si Sorin peut le faire, lui aussi. Pour passer le temps il rumine ses pensés en regardant autour de lui quand il arrive à discerné des détails dans cette nuit noir.
Au bout d’un moment ils ont passés les allés piétonnes et s’enfoncent dans une zone apparemment moins fréquenté. Puis, arrivant dans une clairière le guide se stoppe et le second Gangrel fait de même. Aux yeux de Friedrich l’endroit n’est pas tellement différent du reste du parc mais ce qui est sûr c’est qu’il est plus excentré, ce qui permettra à toutes les petites bêtes de vivre sereinement.
- Ouais ouais, me donne pas d’ordre quand même.
Friedrich ronchonne mais il s’exécute malgré tout. De là, des belettes sortent de leurs cages ainsi que des chats, des hérissons, des mulots et même un lapin. La plupart se dispersent rapidement sauf un chat roux qui se frotte aux jambes de Sorin et un autre chat gris qui donne des coups de pattes à un mulot. En entendant la remarque de son compère le chauve désigne le chat joueur du doigt.
- Alors je ne suis pas expert hein, mais eux ils n’auront pas de mal à manger. Surtout vu ce qu’on vient de lâcher… Par contre pour les rongeurs et tout je n’sais pas. Ils bouffent de l’herbe je suppose ?
Il hausse les épaules. La forêt ce n’est pas con pour eux. Mieux même que la zone résidentielle duquel ils venaient. Sorin reprend la parole de sa manière hésitante et saccadée.
- Tu ne parles pas bien français ? Deutsch vielleicht ? O Español ?.. Русский ?*
Bon, il frime quand même un peu trop car le russe il ne le parle vraiment, il sait juste dire : russe, patate et vodka. Avec ce lexique ils n’iront pas très loin. Il réfléchit néanmoins à la question de Sorin.
- Mhh… On pourrait leurs faire quelques abris ? Pour les plus petites créatures surtout.
Il se dit qu’Alix exigerait au moins ça. Bon en pratique elle n’en saura rien, mais tant qu’a être là, autant respecter son souhait. En plus, maintenant qu’il les a vus gambader un peu partout, il a plutôt à cœur de leur permettre d’avoir la belle vie. Et ce fameux Sorin l'intrigue aussi, il doit bien l'admettre. Parmi les autres caïnites qu'il a croisé, aucun ne lui ressemble. Ni aucun humain d'ailleurs...
*Allemand peut être ? Ou Espagnol ? Russe ?
Au bout d’un moment ils ont passés les allés piétonnes et s’enfoncent dans une zone apparemment moins fréquenté. Puis, arrivant dans une clairière le guide se stoppe et le second Gangrel fait de même. Aux yeux de Friedrich l’endroit n’est pas tellement différent du reste du parc mais ce qui est sûr c’est qu’il est plus excentré, ce qui permettra à toutes les petites bêtes de vivre sereinement.
- Ouais ouais, me donne pas d’ordre quand même.
Friedrich ronchonne mais il s’exécute malgré tout. De là, des belettes sortent de leurs cages ainsi que des chats, des hérissons, des mulots et même un lapin. La plupart se dispersent rapidement sauf un chat roux qui se frotte aux jambes de Sorin et un autre chat gris qui donne des coups de pattes à un mulot. En entendant la remarque de son compère le chauve désigne le chat joueur du doigt.
- Alors je ne suis pas expert hein, mais eux ils n’auront pas de mal à manger. Surtout vu ce qu’on vient de lâcher… Par contre pour les rongeurs et tout je n’sais pas. Ils bouffent de l’herbe je suppose ?
Il hausse les épaules. La forêt ce n’est pas con pour eux. Mieux même que la zone résidentielle duquel ils venaient. Sorin reprend la parole de sa manière hésitante et saccadée.
- Tu ne parles pas bien français ? Deutsch vielleicht ? O Español ?.. Русский ?*
Bon, il frime quand même un peu trop car le russe il ne le parle vraiment, il sait juste dire : russe, patate et vodka. Avec ce lexique ils n’iront pas très loin. Il réfléchit néanmoins à la question de Sorin.
- Mhh… On pourrait leurs faire quelques abris ? Pour les plus petites créatures surtout.
Il se dit qu’Alix exigerait au moins ça. Bon en pratique elle n’en saura rien, mais tant qu’a être là, autant respecter son souhait. En plus, maintenant qu’il les a vus gambader un peu partout, il a plutôt à cœur de leur permettre d’avoir la belle vie. Et ce fameux Sorin l'intrigue aussi, il doit bien l'admettre. Parmi les autres caïnites qu'il a croisé, aucun ne lui ressemble. Ni aucun humain d'ailleurs...
*Allemand peut être ? Ou Espagnol ? Russe ?
@ Sorin Greylord
Clan : Gangrel
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Santé :
(5/5)
Humanité:
(4/5)
Influence: 1
Sorin ne pouvait pas avoir les yeux partout, tout surveiller en même temps lui était impossible. il devait s'occuper de ses propres cartons, de veiller à bien faire sortir ses propres animaux de dedans. Les premiers, il avait ou les ouvrir avec ses griffes sans problème, un vrai jeu d’enfant pour lui. A chaque fois, il contrôlait les boites afin de s’assurer de ne pas en laisser un coincé dedans. Les cartons vides se retrouvaient empilés les uns sur les autre derrière lui, les animaux s’éloignaient petit à petit des deux vampires, partaient dans leur endroit natu.. Un mouvement de panique, d’affolement du coté de Friedrich, avait tout de suite fait réagir le coeur sauvage. Ce dernier avait rivé les yeux sur lui, s’était relevé d’un bon et attrapa juste à temps les deux chats sortis de leur cage. L’instinct prédateur de chasse des deux félins était revenu au grand galop et ils avaient été à deux doigts de croquer deux pauvres petits mulots. Une chance, le jeune Gangrel arriva à leur mette un stop, les chats en question finirent tous les deux les 4 pattes dans le vide, la queue entre les jambes et les oreilles baissées en arrière . Le jeune vampire aux longs cheveux longs les tenait par la peau du cou, se hata de les remettre dans un carton. Les pauvres minou couinaient, miaulaient de toutes leurs forces. Le coeur sauvage en était désolé, ne pouvait les laisser libre pour le moment, ça saurait un massacre Le collant avait été enlevé, impossible à remettre, Sorin du se débrouiller avec les moyens du bord; Il attrapa une sorte de lière, l’enroula et l’attacha avec.
“ Pas maintenant, stupide vampire”
Un grognement, un regard de travers, Il lui fit bien comprendre sa connerie. Une seule remarque, râlerie de sa part et il risquerait de passer un très mauvais moment. Sorin ne rigolait pas avec ca, ils avaient aussi pour mission de protéger ces animaux de leur propre prédateur. Ca semblait être un petit légers détail qui pourtant était très important.A quoi bon de se donner autant de mal pour leur offrir un nouvel habitat. Le prince de la nature se concentra sur sa dernière boite à ouvrir, du prendre son poignard pour couper le bandeau de scotch, le temps de regarder les hérissons sortir un à un. Ils étaient si mignons, des petites boules sur pattes qui avancaient dans l’herbe, c’était amusant à voir.
“Concentres toi..”
Sorin n’y croyait pas ses oreilles, l’autre vampire faisait son petit coq, se vanter de parler plusieurs langues. Il cherchait sans doute à l amuser ou à l impressionner or ça se solda par un échec cuisant, il se fit ignorer du début à la fin. le jeune vampire aux longs cheveux bruns ne voulait perdre son temps à ces enfantillages, il avait autre chose à faire comme réparer sa connerie. Il avait décidé de garder la boite des chats prêt de lui, la prit dans ses bras une fois tous les autres animaux en liberté.
“ prends les boites vides. Suit moi”
Il allait l’intention de les relâcher dans un autre coin avec surtout un long moment d’attente pour être sur qu’ils ne repartaient pas à la chasse aux pauvres mulots. Il les avait posé dans un coin en attendant,
“ ramasser bois, feuilles.. Abris animaux ”
S’il pensait qu’il allait se tourner les pouces, il se mettait le doigt dans l’oeil, ce n’était pas à Sorin de tout faire.
“ Pas maintenant, stupide vampire”
Un grognement, un regard de travers, Il lui fit bien comprendre sa connerie. Une seule remarque, râlerie de sa part et il risquerait de passer un très mauvais moment. Sorin ne rigolait pas avec ca, ils avaient aussi pour mission de protéger ces animaux de leur propre prédateur. Ca semblait être un petit légers détail qui pourtant était très important.A quoi bon de se donner autant de mal pour leur offrir un nouvel habitat. Le prince de la nature se concentra sur sa dernière boite à ouvrir, du prendre son poignard pour couper le bandeau de scotch, le temps de regarder les hérissons sortir un à un. Ils étaient si mignons, des petites boules sur pattes qui avancaient dans l’herbe, c’était amusant à voir.
“Concentres toi..”
Sorin n’y croyait pas ses oreilles, l’autre vampire faisait son petit coq, se vanter de parler plusieurs langues. Il cherchait sans doute à l amuser ou à l impressionner or ça se solda par un échec cuisant, il se fit ignorer du début à la fin. le jeune vampire aux longs cheveux bruns ne voulait perdre son temps à ces enfantillages, il avait autre chose à faire comme réparer sa connerie. Il avait décidé de garder la boite des chats prêt de lui, la prit dans ses bras une fois tous les autres animaux en liberté.
“ prends les boites vides. Suit moi”
Il allait l’intention de les relâcher dans un autre coin avec surtout un long moment d’attente pour être sur qu’ils ne repartaient pas à la chasse aux pauvres mulots. Il les avait posé dans un coin en attendant,
“ ramasser bois, feuilles.. Abris animaux ”
S’il pensait qu’il allait se tourner les pouces, il se mettait le doigt dans l’oeil, ce n’était pas à Sorin de tout faire.
@ Friedrich Vogt
Clan : Gangrel
Feuille de personnage
Santé :
(4/5)
Humanité:
(3/5)
Influence: 1
L’appel de la nature
Firedrich ξ Sorin
Le Gangrel peu docile se voit rembarrer aussi sec par son frère de clan. Il hausse les épaules, le laissant se dépêtré avec les chats. Etant donné son propre régime alimentaire, Friedrich se voit mal empêcher des félins de suivre leur instinct. Il aime pas mal leur caractère indépendant et combatif. Il a moins de lien avec les rongeurs même s’il ne leur ferait pas de mal pour autant.
Il se savait rustre mais il trouve ici un maitre. Peut être qu’il pourrait mettre sa façon de parler sur le compte de son manque de vocabulaire… Mais si le gars connait le mot : concentration il doit aussi connaitre : s’il te plait. Non ? Néanmoins, le vampire s’exécute une fois de plus en superposant les petites boites dans les plus grandes. Le poids du bois étant toujours aussi important. Et puis le guide recommence avec ses ordres.
- Hé mec attend. Attend je te dis. Il faut qu’on règle un truc parce que t’es pas chez ta mère là. J’ai l’impression de faire de l’intérim et non rémunéré en plus.
Friedrich lâche ses caisses à côté de ses vans et lève les bras vers lui.
- T’es pas obligé de faire des longue phrase mais faut y mettre un peu les formes. Genre : « Tire toi les doigts de cul et viens m’aider sacam. » Tu peux le faire ?
Bon finalement ce n’est pas être pas avec l’allemand qu’il apprendra la politesse. Pour sa part, il apprend toujours une nouvelle langue en commençant pas les insultes et le jargon de la steet. C’est là qu’il y a le plus intéressant : le langage de tout le monde. Celui qui se parle pour de vrai, pas dans un bouquin ou dans la haute.
Ou encore : « Bouge de là, j’ai besoin de toi du con. » Après c’est selon les gouts…
Puis il commence à ramasser le matériel nécessaire pour réaliser les abris. Il fait des tas un peu grossier de pierres, de feuilles et de branches. Bon il s’agit quand même d’un territoire aménagé dans Paris donc les ressources ne sont pas immense mais pour la petite troupe qu’ils viennent de lâcher ça devrait suffire. Puis Friedrich revient voir Sorin pour écouter ses instructions – qu’il espère cette fois agrémenté de mots doux.
Le jeune vampire est plus agile de ses doigts et débrouillard, néanmoins, crée des abris pour les bêtes il n’en fait pas tout les jours.
Il se savait rustre mais il trouve ici un maitre. Peut être qu’il pourrait mettre sa façon de parler sur le compte de son manque de vocabulaire… Mais si le gars connait le mot : concentration il doit aussi connaitre : s’il te plait. Non ? Néanmoins, le vampire s’exécute une fois de plus en superposant les petites boites dans les plus grandes. Le poids du bois étant toujours aussi important. Et puis le guide recommence avec ses ordres.
- Hé mec attend. Attend je te dis. Il faut qu’on règle un truc parce que t’es pas chez ta mère là. J’ai l’impression de faire de l’intérim et non rémunéré en plus.
Friedrich lâche ses caisses à côté de ses vans et lève les bras vers lui.
- T’es pas obligé de faire des longue phrase mais faut y mettre un peu les formes. Genre : « Tire toi les doigts de cul et viens m’aider sacam. » Tu peux le faire ?
Bon finalement ce n’est pas être pas avec l’allemand qu’il apprendra la politesse. Pour sa part, il apprend toujours une nouvelle langue en commençant pas les insultes et le jargon de la steet. C’est là qu’il y a le plus intéressant : le langage de tout le monde. Celui qui se parle pour de vrai, pas dans un bouquin ou dans la haute.
Ou encore : « Bouge de là, j’ai besoin de toi du con. » Après c’est selon les gouts…
Puis il commence à ramasser le matériel nécessaire pour réaliser les abris. Il fait des tas un peu grossier de pierres, de feuilles et de branches. Bon il s’agit quand même d’un territoire aménagé dans Paris donc les ressources ne sont pas immense mais pour la petite troupe qu’ils viennent de lâcher ça devrait suffire. Puis Friedrich revient voir Sorin pour écouter ses instructions – qu’il espère cette fois agrémenté de mots doux.
Le jeune vampire est plus agile de ses doigts et débrouillard, néanmoins, crée des abris pour les bêtes il n’en fait pas tout les jours.