Le Deal du moment : -21%
LEGO® Icons 10329 Les Plantes Miniatures, ...
Voir le deal
39.59 €

On naît amant comme on naît musicien, peintre ou poète.

@ Louise de Mailly-Nesle

Louise de Mailly-Nesle
Membre
Ressources : 25
Clan : Toreador

Feuille de personnage
Santé :
On naît amant comme on naît musicien, peintre ou poète. Left_bar_bleue5/5On naît amant comme on naît musicien, peintre ou poète. Empty_bar_bleue  (5/5)
Humanité:
On naît amant comme on naît musicien, peintre ou poète. Left_bar_bleue4/5On naît amant comme on naît musicien, peintre ou poète. Empty_bar_bleue  (4/5)
Influence: 3
#
31.08.23 16:34
point de soif : 1Point de soif niveau 1



La nuit commençait, ou du moins était déjà commencé depuis un certain temps, lorsqu’elle sortit de la galerie en baillant. Un rapide coup d’œil à sa montre lui indiqua qu’il n’était même pas minuit. Au final elle ne regrettait pas de partir si tôt, les toiles affichées étaient fades, aucune ne se démarquaient ou ne sortaient du lot d’une quelconque façon que ce soit, il leur manquait à toutes cette étincelle, cet engagement qui donnait tout son sel à une œuvre et ce peu importait la nature de ladite œuvre. Enfin, à toutes pas exactement, parce que parmi les croûtes se trouvaient un diamant de beauté, taillé expertement par des siècles de pratiques : la création de Louise. Le lieu ni l’occasion ne méritaient qu’elle n’apporte davantage qu’un de ses chefs d’œuvres pour ravir les yeux de tous. La toreador avait daigné prendre une de ses toiles, s’habiller dans une magnifique robe noire rehaussée d’or à l’élégance raffinée, passé plus de temps devant sa glace qu’elle ne l’avouerait jamais, tout ça pour ne rester qu’une heure ou deux. Une perte seiche de temps d’une soirée qui pourtant commençait plutôt bien vu qu’à son réveil elle n’avait eu aucun message alarmant, pas de problème grave ou de crise à gérer dans l’immédiat. C’était l’une des rares fois où les soucis ne s’empilaient pas, l’une des rares nuits qu’elle pouvait passer à profiter, sans travailler plus que de raison, sans avoir à réfléchir à des solutions à s’en tordre le cerveau. Mais voilà : Louise avait tout de même eu un mauvais début de soirée. Qu’importe, se disait-elle en montant dans sa voiture pour repartir, elle réussirait bien à trouver de quoi se détendre sans que ça ne tourne mal ! Et pour ça rien de mieux qu’un bon nettoyage oculaire, n’ayant pas à réfléchir longtemps, elle s’engagea sur la route qui menait jusqu’à la cathédrale Notre Dame. Là elle pourrait aisément trouver la maîtrise consommée d’un artisan expérimenté dans le coup de burin qui permettait de donner vie à la pierre ou dans le souffle d’un verrier qui illuminait de mille feu l’intérieur grâce aux rosaces à plusieurs mètres du sol. Cependant avant de pouvoir y aller, se rendit-elle compte en plein milieu du trajet, elle devait faire un passage par chez elle pour récupérer ce dont elle avait besoin.


Une fois garée elle salua quelques congénères mais contrairement à eux elle ne se dirigea pas vers l’intérieur, préférant rester à l’extérieur et sortir tout son matériel de son coffre. En une poignée de minutes elle était prête à peindre, le châssis posé sur son fidèle chevalet au milieu du parvis, la toile tendue. Une petite table pliante portait ses peintures, ses pinceaux, et sa palette le temps qu’elle ait terminé les dessins préliminaires. C’était sans doute trop étant donné qu’elle n’aurait probablement pas terminé les premières étapes cette nuit-là mais comme le disait son maître mort plus de deux siècles auparavant : on ne sait jamais quand la muse vous porte. Armé d’un crayon de papier elle se mit à esquisser les bases de ce qui s’annonçait être une somptueuse représentations du monument. Des traits rapides, légers et fugaces, laissaient à peine leur marque sur la toile, créant une architecture dont les fondations était élusives mais qui suffiraient amplement pourvu que l’on ait l’œil suffisamment entraîné. Le seul problème, le seul gros problème, c’est que la vampire fut tant prise par ses esquisses qu’elle ne vit pas lentement pointer le bout de leur nez jusqu’au-dessus de sa tête, recouvrir petit-à-petit, aidé par le vent capricieux, le parvis de la cathédrale. Or un seul regard aux étoiles aurait pu lui indiquer que rester dehors était une mauvaise idée ; seul un aveugle n’aurait pas compris qu’il allait pleuvoir sous peu. Alors lorsque la première goutte tomba sur le sommet de son crâne, amortis par sa chevelure sanguine, la toreador ne la sentit même pas et poursuivi puis lorsqu’elle vit une tâche sur le coin droite de sa toile elle fronça les sourcils en se demandant d’où elle pouvait bien venir avant de se rendre compte très vite qu’il s’agissait d’humidité. Le destin attendit visiblement qu’elle se rendit compte de ce qui était en train de se produire pour réellement se déchaîner car ce fut à ce moment que l’averse débuta. Un claquement de langue agacé plus tard elle tenta de remballer ses affaires mais sut pertinemment qu’elle n’y arriverait pas, du moins pas à temps et encore moins seule. La majorité des vampires avaient eu le bon sens de trouver un abris, du moins ceux qui n’appréciait pas être mouillé, et Louise dû s’y prendre à deux fois pour voir une silhouette, une personne.

« Vous ! » Appela-t-elle sans même savoir de qui il s’agissait, humain ou non. « Aidez-moi à ranger s’il-vous-plaît ! »

Les gouttes se faisaient plus épaisses et surtout intervalle entre chaque impact se faisait de plus en plus court. Pressée par le temps sa demande avait été plus une injonction qu’autre chose bien qu’il était difficile de louper le besoin pressant, l'appel à l'aide, dans sa voix.

@ Gladys de Rohan

Gladys de Rohan
Membre
Ressources : 44
Clan : Ventrue

Feuille de personnage
Santé :
On naît amant comme on naît musicien, peintre ou poète. Left_bar_bleue5/5On naît amant comme on naît musicien, peintre ou poète. Empty_bar_bleue  (5/5)
Humanité:
On naît amant comme on naît musicien, peintre ou poète. Left_bar_bleue3/5On naît amant comme on naît musicien, peintre ou poète. Empty_bar_bleue  (3/5)
Influence: 3
#
05.09.23 20:15
point de soif : 1Point de soif niveau 1


Une nuit douce et dégagée... Je me redresse, les cheveux légèrement ébouriffés, je me frotte les yeux en regardant dehors. La baie vitrée de mon penthouse me donne une fabuleuse vu sur le quartier ouest de Paris, j'esquisse un sourire alors que je me redresse, je me lève et commence à marcher pour aller attraper mon peignoir en soie satinée blanche... Je couvre mon corps alors que je passe une main dans ma chevelure argenté. Oui, une nuit agréable s'annonce. Très rapidement je sens Plasma se frotter contre mes jambes et du bout de les doigts, de mes ongles je viens lui gratter affectueusement le dos jusqu'au niveau de sa queue, je me dirige ensuite à mon bureau, évidemment il y a des lettres et je vois des appels manqués. Une nuit peut-être pas si douce.

Après un petit temps de préparation et quelques papiers traités, j'entends mon téléphone sonner, une réunion vers 20h avec ma très cher Elisabeth, que serais-je sans elle... ? Une nouvelle collection doit arriver et nous venons de recevoir le premier prototype. Après quelques minutes je commence alors à me préparer à sortir, caressant une dernière fois mon chat sans poils, je sors rejoindre mon chauffeur, habillée d'un tailleur noir, pantalon noir et escapins... Sous la veste de tailleur j'ai seulement un corset rouge bordeaux serti de petites pierre et un grand collier ras de cou, toujours un rubis scintillent au milieu, il termine bien cette tenue.  

Arrivée à la boutique, ce qui est pratique c'est qu'à 23h, je ne croise plus personne ! Je ne suis pas obligée de supporter la tête de ces mortels. Bien, je rejoins donc Elisabeth, elle m'attend avec deux gardes et une malette ainsi qu'un... humain. Je le toise du regard, me montrant supérieur, il est bossu, courbé, il a l'air de s'écraser devant moi : parfait.

- Alors ? Ce fameux collier ? demandais-je en m'approchant du bureau.

La malette s'ouvre et je peux voir un magnifique collier en or blanc et diamant 18 carats, il est en forme d'Edelweiss avec un rubis en son centre... Je souris et hoche la tête alors que je le prends délicatement dans mes mains. Evidemment, j'ai mis des gants blancs pour le manipuler et je le mets un peu en hauteur pour voir les éclats de diamants... Un sourire satisfait étire mes lèvres alors que je le repose, je regarde l'humain qui semble fier,

- Parfait. Faites une chaînette plus fine et ça sera parfait.

Après plusieurs semaines il était enfin prêt. Le bijou est remballé, les hommes raccompagnent l'orfèvre et je m'installe à mon bureau histoire de signer les derniers papier, ou plutôt les bons de commande. C'est vers les alentours de minuit voir une heure du matin que j'ai enfin terminé, je peux enfin "profiter de ma nuit". Une envie de détente et me voilà guidée jusqu'à Notre Dame... Une bâtisse si parfaite.

Je sors à peine de ma voiture, quelques pas sont faits et je sens alors des gouttes d'eau, je lève les yeux quelques instants et je soupire : allons vite se mettre à l'abri. Je sens mon chauffeur déposer une cape sur mes épaules pour me protéger, je ne le remercie même pas et je commence à avancer, mettant avec élégance l'énorme capuche pour me protéger. C'est à ce moment que j'entends une voix me donner un ordre, je fronce les sourcils avant de voir une vampire à la chevelure flamboyante qui peine à ranger ses affaires... Je plisse les yeux et je la reconnais, elle, je l'ai déjà vue. Une artiste, j'ai déjà observé de loin ses travaux. Je décide alors de me diriger vers elle. Une grande surprise en voyant le début de cette toile, quelques coups de crayon prometteurs. Et habilement, d'une main, je me saisie de la toile et j'essaye de la protéger dans ma cape,

- Je ne veux pas qu'une beauté comme ça soit gâchée. Je te laisse le reste. lançais-je en m'avançant vers la porte d'entrée de Notre Dame.

Pour le reste, ce n'est pas très grave si c'est mouillé !

@ Camille Garnier

Camille Garnier
Membre
Ressources : 140
Clan : Toréador

Feuille de personnage
Santé :
On naît amant comme on naît musicien, peintre ou poète. Left_bar_bleue5/5On naît amant comme on naît musicien, peintre ou poète. Empty_bar_bleue  (5/5)
Humanité:
On naît amant comme on naît musicien, peintre ou poète. Left_bar_bleue4/5On naît amant comme on naît musicien, peintre ou poète. Empty_bar_bleue  (4/5)
Influence: 3
#
07.09.23 0:31
point de soif : 1Point de soif niveau 1


La nuit promet d'être mauvaise. Un bruit de verre cassée emplit la pièce. Camille prend un bol de chips et le jette par terre, projettant plusieurs morceaux sur le tapis bordeaux de son appartement. Même le doux parfum d'une orange ouverte à côté de son ordinateur, prévue à cette effet pour apaiser les nerfs de la jeune caïnite,  ne servit à rien. Elle se laisse tomber sur son fauteuil, la bouche tordue dans une grimace de colère. Ce Damien, sa némésis, son ennemi virtuel, ce sal con, avait ravi certains de ses fans ! Alors qu'elle est mille fois plus douée que lui ! Il avait sorti une vidéo analyse de Baldur Gate 3 qui avait fait des ravages. Elle avait alors prévu de plancher sur le sujet depuis le début de nuit mais l'inspiration n'était pas au rendez-vous ! Sa muse l'a quitté pour cette nuit. Elle avait disparu des radars. Sa feuille reste désespérément vierge et son jeu tourne encore.

Si ça ne veut pas, ça ne veut pas. Camille eut un rictus sadique. Ce fils de chien est un mortel. Elle non, elle est immortelle. Il a gagné cette bataille mais elle a le temps pour allié.

Elle arrête tout et va se rafraîchir dans la salle de bain. Pour une fois, elle qui se maquille rarement, se prit le goût d'embellir ses yeux en amende d'un coup de mascara et d'eyeliner. Personne ne va la regarder ce soir, mais c'est surtout pour elle. Et son orgueil blessé. Décidément...

Un coup d'œil à l'extérieur lui annonce un temps nuageux, pluvieux même. La facade de Notre-Dame est encore plus grise de sa fenetre. Avant même qu'elle n'ait pris le temps de réfléchir, elle suit son instinct, enfile un caoué noir d'encre, ferme à double tour son refuge et s'enfonce dans la nuit. Marcher et se promener, c'est bon pour les nerfs, pour l'inspiration. Tout artiste sait ça.

Elle n'a pas fait quelques pas qu'une pluie drue s'abat sur sa capuche,  qu'elle rabat encore plus sur sa tête.  L'odeur est plaisante.  Notre-Dame se déploit toujours aussi majestueusement. Qu'est-ce qu'elle aime ce batiment ! Elle avait pleuré des larmes de sang à son incendie, avait regardé la télé avec folie, ne loupant aucune seconde du drame. Elle observe émue les grues de chantier qui se dressent autour de cette Grande Dame bien courageuse.

Une touche rougeâtre attire son regard, ainsi qu'une voix forte appelant à l'aide. En s'approchant elle reconnaît Louise...et Gladys. Cette dernière s'éloigne avec une toile pendant que la Toréador se démène pour ranger ses pinceaux et outils. En tant que membre du même clan, elle avait déjà croisé Louise de nombreuses fois, et bien que cette dernière soit restée dans l'ancien temps avec sa peinture, Camille apprécie le talent de l'artiste. Elle a une sensibilité qui la touche, un vrai quelque chose que Camille respecte vraiment. Elle avance pour l'aider.

- Bonsoir Louise, permets-moi de t'offrir mon aide.

Elle bat des cils pour chasser les gouttes de pluie pendant qu'elle attend une réponse.

@ Louise de Mailly-Nesle

Louise de Mailly-Nesle
Membre
Ressources : 25
Clan : Toreador

Feuille de personnage
Santé :
On naît amant comme on naît musicien, peintre ou poète. Left_bar_bleue5/5On naît amant comme on naît musicien, peintre ou poète. Empty_bar_bleue  (5/5)
Humanité:
On naît amant comme on naît musicien, peintre ou poète. Left_bar_bleue4/5On naît amant comme on naît musicien, peintre ou poète. Empty_bar_bleue  (4/5)
Influence: 3
#
09.09.23 12:47
point de soif : 2Point de soif niveau 2

C’était un sentiment particulier, doux-amer, de voir une de ses œuvres disparaître sous le manteau de quelqu’un afin de la protéger. La perte couplé à la nécessité laissait un arrière-goût qu’elle aurait pu qualifier de désagréable dans d’autres circonstances mais maintenant elle n’avait pas exactement l’occasion de se laisser aller à une introspection malvenue. L’idée de se plaindre, qu’on n’attrapait une toile aussi cavalièrement lui traversa l’esprit mais entre la pluie et voir son matériel malmené, le choix fut aussi simple que rapide ; et puis avec le compliment il était difficile de se montrer acariâtre quand bien même il était mérité. Alors Louise, après avoir poussé une fois de plus une mèche humide qui s’obstinait à venir serpenter jusqu’à ses yeux, rassemblait comme elle pu ses pinceaux qui attendaient patiemment d’être récupérés sur une palette encore tâchée de peinture. Mais voilà il allait être évident que ça ne suffirait pas, surtout que ses tubes étaient à moitié ouverts, l’horreur !

« Euh, oui, merci. »

C’était une réponse qui manquant singulièrement d’inspiration mais qui au moins, avait le mérite d’exister, lancé distraitement alors qu’elle se battait avec le bouchon du tube. C’était indigne de sa toile, d’user de peinture qu’elle n’avait pas fait elle-même, surtout pour un sujet religieux, elle pouvait déjà entendre le soupir indigné d’Elisabeth Le Brun malgré les siècles qui les séparaient. Mais la nature chronophage d’une telle activité l’avait dissuadé d’utiliser autre chose pour le moment, jusqu’au moment où il faudrait terminer son tableau. Mais elle n’y était pas encore, loin de là. Le stress et l’urgence faisait trembloter ses doigts, rendant la situation plus difficile et donc créant un cercle vicieux qui renforçait sa crainte de ne pas arriver à limiter les dégâts. Heureusement que quelqu’un d’autre vint à sa rescousse bien qu’elle ne le comprit pas tout de suite.

« Bonsoir. » Son ton était plus sec, sévère, qu’elle ne le souhaitait, pensant que ce n’était pas exactement le bon moment pour entamer une conversation, la toreador n’ayant même pas relevé la tête pour voir qu’il s’agissait de Camille. Une jeune dont Louise ne comprenait pas grand-chose à ce qu’elle pouvait bien faire de ses nuits. Lorsque la proposition d’aide vint Louise releva la tête, comprenant comment ça se faisait que l’inconnu pouvait connaître son nom, et hocha vigoureusement la tête avant de poursuivre sa tâche. « Avec plaisir.  Je m’occupe du chevalet, prends le reste. »

Ce qui incluait les fameux tubes qu’elle venait enfin de réussir à reboucher avec un sourire triomphal, la palette, les pinceaux, un couteau de peinture et la table qui allait avec. Ce qui, dit comme ça, semblait être beaucoup mais il s’agissait de petits outils qui étaient simples à transporter, surtout que la table, petite et en plastique, était pliante. Elle s’était réservé le plus difficile, et le second en terme d’importance : le chevalet. Une pièce de bois encombrante et plutôt lourde. Il ne leur restait plus qu’à courir jusqu’au couvert de la cathédrale. Une course laborieuse à cause de son fardeau et elle manqua de se retrouver le dos au sol, ce qui serait très certainement arrivé si son sens de l’équilibre surnaturel ne lui avait pas permis de se rattraper de justesse. Une fois à l’intérieur du monument elle posa son matériel contre le mur et souffla.

« Merci Camille. » Si elle connaissait la jeune Toreador, ce n’était pas le cas de l’inconnue qui l’avait également aidé et qui avait surtout encore sa toile. Si les traits qui y étaient dessinés n’étaient que l’ébauche préliminaire de son œuvre ça n’empêchait pas qu’elle souhaitait tout de même la récupérer ! Lousie regarda alors autour d’elle pour voir où elle avait bien pu partir.

@ Gladys de Rohan

Gladys de Rohan
Membre
Ressources : 44
Clan : Ventrue

Feuille de personnage
Santé :
On naît amant comme on naît musicien, peintre ou poète. Left_bar_bleue5/5On naît amant comme on naît musicien, peintre ou poète. Empty_bar_bleue  (5/5)
Humanité:
On naît amant comme on naît musicien, peintre ou poète. Left_bar_bleue3/5On naît amant comme on naît musicien, peintre ou poète. Empty_bar_bleue  (3/5)
Influence: 3
#
09.10.23 15:49
point de soif : 2Point de soif niveau 2


12198533_n-d-de-paris001.jpg
5-81.jpgFyN8i0t.jpg0BTE4La.jpg

Notre Dame, un lieu chargé en histoire, en sensation et en prière. Bien que cet endroit pourrait être détesté par nous-autres, je trouve cette bâtisse merveilleuse. Je laisse alors les portes se refermer, sans prendre le temps de me retourner et de voir si l’artiste à qui j’ai “pris” la toile me suit ou si elle y arrive. A vrai dire, je m’en moque bien, même si après reflexion, si elle n’a plus son matériel, elle ne pourra pas finir sa toile. Un coup d’oeil rapide alors que j’allais disparaître derrière l’entrée menant à notre espace et je la vois entrer. Parfait, elle est donc encore là, nul doute qu’on va se rendre au même endroit.

Je descends alors les marches pour me rendre sous notre dame, un espace assez cosy et confortable, un endroit familier qui m’arrache directement un sourire alors que je reconnais certaines têtes, que des vampires viennent me saluer, je dépose un rapide regard vers eux, inclinant très légèrement ma tête pour “les saluer”, je me rends à mon endroit habituel, un petit carré de canapé cosy, il y a une petite table, un espace assez tranquille, je dépose alors la toile sur la table et je m’assieds, m’étirant avec élégance, je croise les jambes et je regarde si la jeune peintre est enfin là.

D’ailleurs, j’en profite pour regarder un peu plus en détail la toile et surtout j’essaye de voir si aucun dégât n’a été fait. J’arrête le premier vampire,

- Toi. Montes ou va dans les escaliers, tu vas sûrement croiser une vampire avec un chevalet ou des affaires de peinture… Vas lui dire que je suis là.

Comme un gentil caïnite, il obéit. Je le vois partir. Parfait, je peux attendre à présent que la jeune peintre me rejoigne, ou vienne récupérer sa toile, je lui parlerais bien, quitte à lui proposer d’acheter sa peinture. Ne me doutant pas qu’elle serait déjà accompagnée.

elis



HRP:

@ Contenu sponsorisé

#

permissions de ce forum

Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum