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La puissance du vampire tient à ce que personne ne croit à son existence.

@ Louise de Mailly-Nesle

Louise de Mailly-Nesle
Membre
Ressources : 25
Clan : Toreador

Feuille de personnage
Santé :
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Humanité:
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Influence: 3
#
28.08.23 22:30
Carte Mortel
Nom : De Mailly-Nesle  Prénom: Louise Julie DianeÂge : 23 ans (1710-1733) 
Genre : Féminin. Nationalité : Française. 
Occupation/métier : Musicienne, peintre, écrivain, artiste polymathe en somme. Sexualité : Hétérosexuelle
Zone de Paris : Sud, dans le sixième arrondissement.
« Ce que je préfère dans le vin c’est mon reflet. »
Racontes moi ta vie ? Née le 16 mars 1710 à Paris, dans une famille déjà vieille de sept-cent ans ce fut une vie tranquille qui l’attendait du moins jusqu’en 1729. Mariée à seize ans à un cousin, ce qui la sauva d’une vie ennuyante à mourir est, assez tragiquement, la mort de sa mère qui la transforma du jour au lendemain en dame du palais pour sa majesté Marie Leszczynska, l’épouse de Louis XV. La vie à Versailles la changea, la cour resplendissante des souverains français, bien que n’étant pas ce qu’elle fut sous le roi soleil, ne manqua pas de l’éblouir pour autant et réveilla en elle cette passion créatrice. Son éducation nobiliaire faisait d’elle une artiste, ayant appris à jouer d’un instrument et chanter, entre autres, mais ce n’était jamais pour en jouir elle-même mais au profit de son époux ou d’invités. Ce fut en 1731 qu’elle entra dans la Ménagerie de madame de Tencin où elle rencontra celui qui deviendra son sire. C’est en 1733 qu’elle devint l’amante du roi au cours d’une soirée arrosée. Il fallu attendre quatre avant que l’adultère ne soit révélé, jetant un froid sur ses relations avec la reine dont elle était auparavant très proche ; durant les jours qui suivirent elle fut étreinte. Sincèrement amoureuse de Louis XV c’est pour le distraire, et pour éviter que sa nature vampirique ne soit découverte, lui qui était en proie à des épisodes mélancoliques, qu’elle invita sa sœur Pauline mais cette dernière, ne partageant pas l’amour filial de son aînée fit écarter cette dernière. Si l’objectif était également de permettre une transition plus douce, de passer du statut de favorite royale pour retourner à celui relativement plus discret de dame de compagnie, elle ne s’attendait pas à être renvoyé de la cours aussi rapidement, surtout par sa propre sœur qu’elle avait elle-même introduite au roi. La trahison fut complète lorsque même son sire l’abandonna, la laissant retourner auprès de son mari seule pour trouver sa place dans ce nouveau monde nocturne. Toutefois sa répudiation ne dura guère longtemps vu qu’en 1741 Pauline mourus quelques jours après avoir accouché d’un fils.

Louise retourna à Versailles pour retrouver un Louis XV dévastée par la perte de sa maîtresse qui alla jusqu’à faire un moulage du visage de Pauline. Mais surtout : elle retrouva sa sœur, désormais morte-vivante et commença une rivalité, à sens unique étant donné que l’aînée ne voyait pas vraiment sa cadette d’un mauvais œil, entre les deux nouvelles vampires. La situation était d’autant plus gênante que leur sire restait avec son dernier infant en ignorant superbement Louise.  N’ayant aucunement appris de sa dernière erreur, Louise invita une autre de ses sœurs, Marie-Anne, le 4 octobre 1742 qui, comme la précédente, n’hésita aucunement à écarter son aînée, avec le soutien notable de madame de Tencin que Louise avait offensé avec une critique d’une de ses œuvres. C’est de loin que Louise observe sa sœur obtenir une influence conséquente, suffisamment d’ailleurs pour convaincre son amant de plonger la France dans la guerre de succession d’Autriche et de mener personnellement les troupes royales. Si Pauline, toujours aussi amère, se moque allégrement des déboires de Marie-Anne et de Louis XV à Metz, ce n’est pas le cas de Louise qui tente de soutenir sa cadette alors que le royaume se met à prier pour le salut du roi, tombé gravement malade en campagne. Lorsque le souverain se remet de sa maladie il retourne à Versailles et rappelle Marie-Anne auprès de lui ce qui reste en travers de la gorge de Pauline, témoin de marques d’affection encore plus grande que ce qu’a pu lui témoigner le roi de son vivant. En décembre 1744 la dernière sœur Nesle à partager la couche royale meurt, certains pensent à un empoisonnement et Louise enquête de longues années pour déterminer la vérité. Ce qu’elle fera en 1748 où elle trouvera que c’est bien Pauline qui a assassiné sa cadette, poussée par la jalousie. La rivalité auparavant à sens unique devient bel et bien réciproque et elles se mettent des bâtons dans les roues dès que possible. Le 5 mars 1751 Louise mets en scène sa mort pour pouvoir se concentrer sur le monde vampirique. Toujours sans le moindre mot de son sire surtout que depuis qu’elle s’est retiré de la cours elle n’avait plus accès aux moyens nécessaire pour se procurer les matériaux nécessaires à la confection d’œuvres d’art qui auraient pu lui faire retrouver les faveurs dudit sire.

S’éloignant de Paris, Louise retourna dans le domaine familial et y passa de longues années à en apprendre davantage sur toutes les découvertes, notamment artistiques, du fameux siècle des lumières. Se plaisant à se penser mécène, elle invita une poignée d’artistes mais ça ne dura pas bien longtemps, déjà parce qu’il est difficile de rester discrète dans ces circonstances, et puis parce qu’être mise au courante des dernières avancées la lassa très vite. Elle se décida à faire le tour de la France, c’est en rentrant dans la demeure ancestrale qu’elle appris en juin 1774 la mort de Louis XV. Étant toujours amoureuse, la nouvelle lui fit beaucoup plus de mal qu’elle n’aurait pensé ne put se résoudre à rester en France. Elle profita alors du départ du marquis de la Fayette pour aller aux Etats-Unis nouvellement formés. Ce voyage pour lui changer les idées et découvrir ce fameux nouveau monde dont elle n’avait qu’entendu parlé s’arrêta une grosse dizaine d’années plus tard. Le destin, ayant toujours un sens de l’humour assez pervers, la vit revenir à Paris en février 1789. A peine le temps de se réinstaller que déjà la ville, et le pays dans son ensemble, se retrouva secoué par des mouvements insurrectionnels sans précédents. Elle observe de relativement près, avec une grande curiosité, ce qui s’y passe et souhaita même y participer toutefois elle jugea le chaos de cette période changeant bien trop dangereux. Foncièrement royaliste, Louise voit d’un œil plutôt mauvais la réussite des révolutionnaires, d’autant plus que sa sœur les soutiens ce qui la place fermement dans le camp opposé. Elle aide Louis XVI a préparer son départ vers l’Autriche et même si grâce à l’aide d’une coterie de vampires partageant ses idéaux elle réussit à s’assurer que le souverain puisse s’en aller, Pauline apprit par où comptait passer le roi et écrivit à certains de ses contacts pour tenter de l’arrêter, ce qui arriva à Varennes. Elle tenta d’empêcher la mort du roi, en bonne royaliste absolue qu’elle était. Avec l’aide d’autres vampires elle permit d’obtenir que le sort du roi ne soit pas plébiscité, craignant que le peuple ne demande sa tête. Le temps gagné permit de faire pression sur Lepeletier, qui était jusqu’alors hésitant, mais ce dernier finit par retourner sa veste et vota pour la mise à mort de Louis XVI, emportant avec lui les votes des indécis. Dans la nuit du 20 au 21 janvier fut organisé son assassinat mais elle n’eut rien à voir dans l’affaire car pendant ce temps elle était avec sa coterie de vampires royalistes pour rassembler dans la nuit les ressources nécessaires à la préparation d’autant d’hommes que possible pour tenter de sauver une dernière fois le lieutenant de Dieu sur Terre. Sous les ordres du baron de Batz, trois-cent hommes tentèrent un ultime coup du sort mais Pauline avait trahis la conspiration et nombre des trois-cents moururent avant même d’avoir pu tenter quoi que ce fut, le baron réussit à s’enfuir et Louise le suivit. Pour un temps du moins.

Elle s’en alla en Vendée dès que le bruit d’un soulèvement contre les républicains parvint à ses oreilles et de 1793 à 1796 soutint les mutins. La défaite des rebelles la força à définitivement fuir le pays pour se réfugier en Angleterre. Pendant les dix-huit ans qui suivirent elle garda des contacts royalistes dans la capitale française depuis l’autre côté de la Manche pendant qu’elle se lançait dans une toute autre activité : la spéculation financière. Ayant acquis les bases auprès de Batz elle profita du début de la révolution industrielle pour amasser une fortune conséquente et en 1814 retourna sur le continent pour aider de Talleyrand à restaurer une monarchie forte. Si les idéaux républicains empêchèrent la restauration d’une monarchie absolue alors autant que la partie constitutionnelle soit la plus réduite possible. Une fois le congrès de Vienne elle retourna à Paris et, pour assister au couronnement de Louis XVIII. C’est à ce moment qu’elle vit le futur Charles X prendre la tête de la faction ultra-royaliste. Ce qu’elle voit d’abord comme un potentiel monarque pouvant redorer le blason de la monarchie se montra au final ne pas être à la hauteur des attentes de Louise. Toutefois si sa politique laissait à désirer son engouement pour les arts racheta cette déficience ; ce sont ses musées, notamment qui regagnèrent le cœur de la Toreador. Ce fut donc avec un pincement au cœur qu’elle appris son abdication et l’avènement, suite aux trois glorieuses, de Louis-Philippe. Constant avec amertume que les idéaux et dons que la révolution avaient laissés étaient de toute évidence là pour rester, elle se retira de la politique pour se concentrer sur ses œuvres, se repliant dans sa demeure où elle organisait des rencontres artistiques et des salons ; particulièrement fascinée par le romantisme elle fit tout ce qui était en son pouvoir pour rencontrer Chateaubriand, Germaine de Staël, Dumas, sans oublier Victor Hugo, tout en entretenant une correspondance avec nombre d’artistes. Alors lorsqu’en 1848 la monarchie mourus pour de bon, laissant la place à la seconde république, ça ne la chamboula pas tant que ça, ayant eu plus d’une décennie pour complètement se détacher d’une période politique trouble et mouvementée. Toutefois c’est en rencontrant François Mariette qu’elle se passionna pour une science nouvelle : l’égyptologie. En 1858 elle le suivit lors de son retour au Caire et se perdit dans la découverte des créations égyptiennes antiques, elle y resta longtemps, captivée autant par les statues et autres bas-reliefs que par les séthites. Toutefois toutes les bonnes choses ont un fin, comme dit l’adage, et les arts plus occidentaux ont fini par lui manquer alors c’est en 1870 qu’elle retourna à Paris, ville dont elle ne pouvait décidément pas s’éloigner très longtemps. Et comme il est de coutume : elle retrouva une cité troublée. Elle retourna dans sa demeure peu de temps avec l’encerclement par l’armée allemande. Prise dans le siège, elle fut beaucoup moins affectée par la faim et les combats que les mortels bien que la situation était tout de même loin d’être agréables surtout pour quelqu’un qui n’a, au final, jamais manqué de rien dans une vie somme toute plutôt longue. A la fin du siège elle décida avoir eu assez d’aventures pour un bon moment et resta dans la capitale avec pour objectif de mener une vie tranquille, oubliable et oubliée. Toutefois elle n’eut pas vraiment l’occasion de mener à bien son plan pour bien longtemps car la Grande Guerre changea tout ça. Avec un optimisme naïf elle se dit, comme nombre de gens, vampires comme humains, que la guerre serait rapidement gagnée, que tout le monde serait de retour pour Noël. Il n’en fut rien. Au bout de la seconde année Louise, voyant que le conflit continuerait probablement de durer, décida de faire ce qu’elle pu. N’étant pas une combattante et encore moins une ouvrière, n’ayant jamais travaillé de ses mains dans sa vie, elle alla tout de même sur le front ; si elle n’avait pas d’uniforme et encore moins d’arme, elle remonta le moral des troupes en chantant et en jouant de la musique qui, durant les douces nuits de juillet, portait à travers le no man’s land jusqu’aux tranchées allemandes, lui valant un surnom des deux côtés des combats : l’Ange de la Somme. C’est au cours de cette bataille qu’elle rencontra un jeune officier anglais d’à peine vingt-quatre ans, tout droit sorti d’Oxford qu’elle surnommait affectueusement Jo’ : John Tolkien. A la signature de l’armistice elle retourne une fois encore à Paris et y fait l’acquisition de l’hôtel de Beaune qui deviendra son refuge durant les longues journées pour le siècle à venir.

Durant les années folles Louise passa le plus clair de son temps à Montmartre et Montparnasse ; elle y fait la rencontre de Fitzgerald et Hemingway ou Ernst et Dali. Mais le changement le plus important fut pour elle son adhésion au parti communiste. Ayant grandement profité de l’exploitation d’une classe ouvrière naissante à l’aune de la révolution industrielle pour tout au long de son développement, c’est finalement ses nombreux passages dans les tranchées de la première guerre mondiale et ses rencontres avec les poilus qu’elle s’est rendu compte de la misère que l’industrie pouvait causer, désormais exposée directement à ses méfaits atroces. Elle était loin la monarchiste convaincue et la pieuse catholique de son enfance. C’est le crash de 1929 qui la confirma pour de bon dans ses convictions communistes quand bien même elle échappa au pire, perdant tout de même une part non négligeable de ses possessions et investissements quand bien même elle réussit à conserver l’hôtel qui lui servait de refuge. Louise dévora alors Le Capitale et tout autre traité politique mettant en avant les bienfaits de la collectivisation des biens et de l’abolition de la propriété privée. Son attention fut alors portée sur l’URSS. Pour changer ce ne fut pas en revenant à Paris que les choses tournèrent au vinaigre mais bien lorsqu’elle s’en alla pour Moscou. Arriver en 1936 dans la capitale soviétique n’était pas exactement la meilleur chose à faire. Déjà parce qu’elle ne savait pas que les brujah, depuis la révolution bolchévik, s’étaient débarrassés des ventrues et toreadors mais aussi parce que les purges staliniennes n’épargnèrent pas les vampires. Quitter le pays s’avéra bien plus difficile que prévu et ne réussit que trois ans plus tard. Retournant en France pile pour être témoin du début de la seconde guerre mondiale. Au moins cette fois la drôle de guerre ne la poussa pas à fuir la capitale. Louise observa, blasée, les allemands prendre le contrôle de la ville mais resta bel et bien dans son refuge. Elle vécu mal l’occupation qui vit la vie artistique et culturelle de la ville se tarir mais au moins son hôtel ne fut pas réquisitionné par les occupants. Le plus délicat fut lorsqu’un officier allemand la reconnu à une soirée, se souvenant de la voix angélique qui était parvenu jusqu’à sa tranchée à la bataille de la Somme. Il fut un courtisan particulièrement tenace et elle eu toutes les difficultés à ne serait-ce qu’éviter. Jusqu’à ce qu’elle se rende compte qu’elle pouvait en profiter pour aider la résistance.

Jusqu’à la libération elle servit d’espionne, principalement pour le compte des réseaux communistes. Si son passage en Russie avait refroidi ses ardeurs, ses idéaux n’en restaient pas moins en place, bien que secoués. C’est grâce à sa relation avec son soupirant qu’elle rencontra le général von Choltitz qui fut nommé gouverneur de Paris le 7 août 1944 et lui aussi reconnu la voix angélique qui chantait dans le camp français. En parlant avec le général elle apprit qu’Hitler lui avait ordonné de détruire Paris avant de se replier, de ses doutes et de son hésitation à obéir. Si on demande à Louise elle répondra avec une fierté non dissimulée que c’est elle qui a convaincu l’allemand de désobéir à son chef d’état mais sans doute est-ce là l’arrogance propre à son clan qui parle. Toutefois elle aime à penser que c’est le cas bien que ce n’est probablement pas l’explication principale mais une partie d’un tout. Après la libération du pays et la fin de la seconde guerre mondiale, l’avènement du capitalisme tempéra davantage ses envies communistes et elle se remit, progressivement à la construction d’un patrimoine conséquent quand bien même il était loin d’égaler celui qu’elle avait établis sur près d’un siècle et demi et qu’elle perdit un à peine une année. Cette fois elle se résolut à une vie simple et avec le moins d’évènements possibles, se disant que les faits historiques étaient certes très intéressants mais qu’ils étaient au final beaucoup moins à vivre. Louise profita de ses talents musicaux pour monter un petit groupe sans prétentions, qui se produisait peu souvent mais qui lui permettaient de se nourrir plus aisément. Satisfaite d’une vie calme sans grandes ambitions voilà que la réalité la rattrapa une fois de plus avec de grands remous mais cette fois ne venant pas des hautes sphères mortelles mais plutôt de celles immortelles. La vampire tourna alors tout de suite son attention vers sa sœur. Si cette dernière n’avait évidemment pas les moyens de faire un coup pareil il y avait fort à parier qu’elle trempait dans l’affaire d’une façon ou d’une autre, même si ladite façon était éloignée ; c’était bien le genre de Pauline.
A quoi ressembles-tu ?  Si de son vivant elle avait des cheveux châtains, ce n’est plus le cas maintenant, les nuits du vingt-et-unième siècle voient déambuler une tête  à la chevelure rousse; plus rouge que rousse en réalité un rouge profond qui n’est pas sans rappeler le sang veineux. Une longue chevelure qui encadre un visage fin et rond, un nez délicat et deux grands yeux qui ont une couleur similaire à sa crinière. Sur son épaule gauche se trouve un tatouage d’une rose  noire trahissant son appartenance au clan Toreador, la tige descendant le long de son bras, sans oublier les épines.
AltruisteMéticuleusePassionnéeZéléeGenereuse
OrgueilleuseRancunièreTêtuNaïveMaladroite
Comment as tu été étreint ?  Elle a connu son sire, bien que brièvement. Un Toreador qui appréciait les œuvres de Louise, notamment ses tableaux, sans parler de son physique qui avait réussi à captiver sa majesté Louis XV. Ce fut donc en 1733 que sa vie changea du tout au tout. Un changement si brutal l’arrêta dans sa lancée créatrice, la difficulté de retrouver ses repères dans un monde bouleversé et un changement si drastique de sa vie ennuyèrent grandement son sire qui, s’il resta quelques temps avec son infant fini par se lasser et laisser Julie se débrouiller toute seule comme une grande avec sa nouvelle immortalité nocturne.
Qu'est-ce qui t'as le plus manqué de ta vie de mortel ? L’attention royale, sans doute, composer à la lumière du soleil, indéniablement. 
Qu'est-ce que tu apprécies de ta nouvelle vie ? L’immortalité permet de passer tout le temps nécessaire pour la création et la perfection d’une œuvre.
Quel est ton type de prédilection ? Reine de la nuit. A la fin de ses concerts ou autres représentations artistiques elle invitera au moins un de ses fans à la rejoindre dans sa loge.
Quel est ton refuge ?  L’Hôtel de Beaune, repère familial depuis qu’il a été racheté il y a de cela un siècle et quelque.
Qu'est-ce que tu désir ? Déterminer si sa sœur trempe dans le bain de sang au Louvres et, par extension, si elle devrait s’inquiéter.
Quel est ton ambition ? Réaliser un chef d’œuvre qui l’immortalisera dans l’imaginaire collectif.
Carte Vampirique
Age vampirique : 290 ans (1733-2023) Secte : Camarilla  
Clan : Toreador Discipline : A REMPLIR APRES VALIDATION
Humanité : 4 Influence :
Avatar : Fait par IA ━ Louise De Mailly-Nesle

@ Mascarade

Mascarade
Admin
Ressources : 154
#
30.08.23 10:27
ToréadorCamarilla
Paris2023
FélicitationLouise Julie Diane De Mailly-Nesle tu es validée !
Bienvenue dans le Monde Ténèbres, tu vas pouvoir rejoindre cette danse macabre. N'oublies à aucun moment que tu peux mourir une ultime fois et laisser tout ce que tu possèdes, y compris ton âme damné. Mais d'abord, tu acquières une humanité de 4 et une influence de 3. Tu as 2 points à répartir dans les disciplines de ton clan. (en savoir plus)


Déterminer si sa sœur est liée au bain de sang au Louvresdésir
Objectif :Pauline prendrait part à la Farce ? Un agent du Sabbat ou ferait-elle cela de manière indépendante pour tirer son épingle du jeu ? Pour le moment tu n'as pas de preuves. Il faudrait que tu ailles enquêter au Louvres pour en avoir le cœur net. Uses de tes disciplines pour remarquer le vrai du faux.
Bonus : Si tu participes à l'intrigues tes choix auront plus d'impact que les autres.


Réaliser un chef d’œuvre ambition
Objectif : Sacrée ambition chère Toreador ! Pour cela il va te falloir une influence de 4 et au moins 3 rp qui mentionne ton travail sur ce fameux chef d'oeuvre.

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