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Gladys de Rohan ▬ Le monde sera à mes pieds.
@ Gladys de Rohan
Carte Mortel
Nom : de Rohan Prénom: Gladys Âge : 20 ans
Genre : Femme Nationalité : Française
Occupation/métier : Propriétaire d'une bijouterie de luxe Sexualité : Pansexuelle
Zone de Paris : Ouest
“Pourquoi s'écraser quand on peut dominer ?”
Racontes moi ta vie ? Ma vie… ? Êtes-vous au moins digne de l’entendre ?
Je pense être bien placée pour dire à quel point la vie est indomptable, imprévisible et injuste. Si tu veux survivre, il faut savoir se battre, écraser et dominer les autres, ne pas montrer que tu es faible.
Je suis née au début du vingtième siècle, alors que les différentes préoccupations tournées autour de la séparation de l’Eglise et de l’Etat, quelque part dans un bordel, naissait, dans la douleur et l’insalubrité, une petite merveille, une fleur parmis la crasse, naître au milieu de prostituées, de maladies et d’homme impétueux n’est pas forcément le meilleur démarrage dans une vie. Ma mère était ce qu’on appelle une fille de joie, esclave d’une maison close, elle est malheureusement tombée enceinte d’un inconnu, là où on pouvait avoir de la chance c’est que ma meilleure faisait partie des préférées de la maison ! En même temps, du haut de ses 16 ans, il fallait dire qu’elle était plutôt mignonne et pour beaucoup d’homme elle représentait encore une certaine innocence ou plutôt une certaine “propreté” ; oui, ce terme est désigné pour dire qu’elle avait peu de chance d’apporter des maladies, des infections ou toutes autres choses liées aux rapports sexuels et en tant que préférée, elle pouvait se permettre de choisir elle-même ses clients. Je vous épargnerais également les fantasmes et envies étranges de certains hommes sur ce qu’on peut qualifier d’enfant…
Me voilà, une jolie petite tête blonde aux yeux d’un bleu aussi profond que l’océan. Il a été décidé que je resterais à la maison close, pas d’orphelinat ou d’église pour moi, chouchoute de certaines, ennemies d’autres, beaucoup voyaient en moi - déjà à cet âge là - l’occasion de se rapprocher de ma mère, la favorite pour avoir des plans ou les clients plus fortunés et d’autres l’occasion de nuire à ma mère justement. Loin de moi l’idée de conter mon enfance et les choses que j’ai pu voir ou… subir, mais c’est dans mes yeux d’enfant que j’ai pu voir la part sombre des Hommes.
Là où certaines petites filles apprennent à lire, à compter, à devenir la parfaite petite épouse, ou d’autres apprennent à devenir la parfaite petite ménagère entre les lessives, le repassage ou les tâches ménagères et même le travail à l’usine, moi, j’apprenais différentes positions, j’apprenais à me servir autrement de mes mains, de ma bouche… De tout mon corps, il fallait dire que j’étais plutôt douée, j’avais d’excellentes professeures. Oui, ma mère y compris.
Ce fut une partie de mon adolescence, est-ce que j’y prenais plaisir ? Évidemment… que non. Je détestais cet endroit, parfois, je me prenais à rêver, à envier les filles qui allaient aux lavoirs par moins dix degrés pour aller laver leur linge. A envier ce petit garçon aux mains et joues rouges qui essaye de vendre son journal… Oui, jusqu’au moment où je sens une main dans mes cheveux, qui les agrippe et…
Ma mère m’a appris à faire tout ça avec dignité et une certaine classe, des comportements un peu snob qui énervaient la plupart des autres employées, mais c’est sûrement pour ça que j’étais devenue rapidement la deuxième préférée, j’avais déjà, à l’époque l’ambition de détrôner la numéro un. Triste ambition, n’est-ce pas ?
Tout a changé vers mes vingt ans, exceptionnellement j’étais allée à domicile cette fois-ci, je rentrais assez tard, une tenue qui se voulait chic avec des matériaux bas de gamme, seuls mes cheveux étaient bien coiffés après avoir été tirés dans tous les sens. Un groupe d'hommes avaient essayé de m’accoster dans cette nuit sombre, le début du jour n’allait pas tarder à se pointer, je ne travaillais pas, pourquoi leur donner ce qu’ils voulaient ? Ils n’allaient même pas payer ! Alors, avec classe, sans vraiment de tact, d’élégance et avec férocité, j’avais envoyé balader ce petit groupe. J’étais sûre de moi, ma mère m’a apprise à l’être, je n’avais pas peur, sûrement de la stupidité en y repensant… Mais, de quoi pourrais-je avoir peur ? Me faire agresser ou pire… ? Haha, je vous adresse un sourire moqueur : c’était mon travail. Et puis mourir, n’était-ce pas au final une délivrance… ? Alors oui, quand cette peur disparaît, on se sent quasiment intouchable.
Et c’est là que la scène s'est passée, les rues de Paris encore endormies, une ombre, des crocs, une morsure, pas cette douleur de plaisir dont j’avais si l’habitude, non, elle faisait beaucoup plus… mal. La scène a été très vite, tellement que quand je me suis réveillée ou plutôt, les souvenirs dont je me rappelle, sont ceux d’une grande chambre, assez luxueuse. Il y avait même une femme de chambre qui est venue me réveiller et m’apporter de quoi me changer, comme si c’était… Normal ? Comme si ça faisait partie de mon quotidien, comme si tout mon passé n’avait été qu’un mauvais rêve. Alors que mon corps, habitué à sortir de draps de lin, je caressais pour la première fois de véritable draps en soie.
J’ai très vite appris la suite : mon existence ne serait plus jamais pareille. Une énorme soif, une sensibilité encore plus accrue et le teint légèrement blafard… Il m’avait sorti de cet enfer pour me plonger dans un monde encore plus noir, plus sombre. Il, c’est mon créateur, celui qui a fait de moi ce que je suis aujourd’hui ; Primogène d’un clan très respecté parmi des… Vampires. Voilà ce que je suis aujourd’hui… ?
Il m’a fallu quelques années pour m’y faire, pour essayer de ne pas vouloir tuer tout ce que je voyais, de me calmer et de réussir à me contrôler… Mon caractère était devenu plus dur, plus froid, même si, des grands sourires, ça, je sais faire. Je n’ai aucun respect pour la vie humaine, je marche sur les gens, je marche sur toutes les créatures qui se mettent sur mon chemin… Mon Sire, il n’a pas forcément été des plus tendres, je ne sais même pas comment définir notre relation à part que grâce à lui, je suis écoutée par les autres, que j’ai commencé à me faire une petite place dans cette communauté. En partie grâce à lui, vous voyez mes ongles longs… ? Ils ne sont pas forcément là que pour faire beau. Je sais me fondre dans une réunion, je sais sourire et faire ce qu’on me demande mais… même dans un monde de ténèbres il y a des parts d’ombre plus profondes. Les humains sont à mes yeux des insectes insignifiants, je n’hésite pas à les utiliser, les écraser, d’ailleurs, les autres vampires aussi mais avec plus de… Comment dire, de subtilité ? Comment pensez-vous que j’ai réussi en si peu de temps à me créer ma propre maison de bijoux de luxe ?
Je n’ai aucune attache, je veux créer un monde comme je l’entends, leur montrer qui doit commander. Pourquoi doit-on s’écraser face à ces humains qui se pensent au-dessus de tout… ? Leurs stupides lois de faible vampire ? Un jour, c’est moi qui les changerais.
A quoi ressembles-tu ? Beaucoup de personnes diront que je suis grande, même si j'atteins à peine les un mètre soixante-quinze, j’ai une aura, dû moins j’aime à le croire, assez imposante et impressionnante pour les plus bas vampire, mon clan, ma caste si je peux dire à certes l’habitude de voir des gens comme moi mais… Je veux en imposer. Mon visage est ovale, j’ai des petites pommettes qui ressortent et les joues légèrement creusées, mes lèvres sont légèrement pulpeuses, je me maquille toujours, rendant mes yeux charbons et mes lèvres rouges comme après une morsure. Mes cheveux sont blancs avec des reflets gris, j’arbore toujours un style ancien, un peu victorien… Il faut dire que dehors je ne passe pas inaperçu, même si j’essaye de mettre parfois des vêtements modernes mais toujours dans un style… comment appellent-ils ça… Gothique ? Comme si cette mode avait quelque chose à voir avec le magnifique style des églises ou du baroque.
Mes ongles sont longs avec du vernis, j’attache souvent mes cheveux en tresses couronnes, sinon ils sont détachés et quand j’assiste à des soirées, je les boucles légèrement.
Je pense être bien placée pour dire à quel point la vie est indomptable, imprévisible et injuste. Si tu veux survivre, il faut savoir se battre, écraser et dominer les autres, ne pas montrer que tu es faible.
Je suis née au début du vingtième siècle, alors que les différentes préoccupations tournées autour de la séparation de l’Eglise et de l’Etat, quelque part dans un bordel, naissait, dans la douleur et l’insalubrité, une petite merveille, une fleur parmis la crasse, naître au milieu de prostituées, de maladies et d’homme impétueux n’est pas forcément le meilleur démarrage dans une vie. Ma mère était ce qu’on appelle une fille de joie, esclave d’une maison close, elle est malheureusement tombée enceinte d’un inconnu, là où on pouvait avoir de la chance c’est que ma meilleure faisait partie des préférées de la maison ! En même temps, du haut de ses 16 ans, il fallait dire qu’elle était plutôt mignonne et pour beaucoup d’homme elle représentait encore une certaine innocence ou plutôt une certaine “propreté” ; oui, ce terme est désigné pour dire qu’elle avait peu de chance d’apporter des maladies, des infections ou toutes autres choses liées aux rapports sexuels et en tant que préférée, elle pouvait se permettre de choisir elle-même ses clients. Je vous épargnerais également les fantasmes et envies étranges de certains hommes sur ce qu’on peut qualifier d’enfant…
Me voilà, une jolie petite tête blonde aux yeux d’un bleu aussi profond que l’océan. Il a été décidé que je resterais à la maison close, pas d’orphelinat ou d’église pour moi, chouchoute de certaines, ennemies d’autres, beaucoup voyaient en moi - déjà à cet âge là - l’occasion de se rapprocher de ma mère, la favorite pour avoir des plans ou les clients plus fortunés et d’autres l’occasion de nuire à ma mère justement. Loin de moi l’idée de conter mon enfance et les choses que j’ai pu voir ou… subir, mais c’est dans mes yeux d’enfant que j’ai pu voir la part sombre des Hommes.
Là où certaines petites filles apprennent à lire, à compter, à devenir la parfaite petite épouse, ou d’autres apprennent à devenir la parfaite petite ménagère entre les lessives, le repassage ou les tâches ménagères et même le travail à l’usine, moi, j’apprenais différentes positions, j’apprenais à me servir autrement de mes mains, de ma bouche… De tout mon corps, il fallait dire que j’étais plutôt douée, j’avais d’excellentes professeures. Oui, ma mère y compris.
Ce fut une partie de mon adolescence, est-ce que j’y prenais plaisir ? Évidemment… que non. Je détestais cet endroit, parfois, je me prenais à rêver, à envier les filles qui allaient aux lavoirs par moins dix degrés pour aller laver leur linge. A envier ce petit garçon aux mains et joues rouges qui essaye de vendre son journal… Oui, jusqu’au moment où je sens une main dans mes cheveux, qui les agrippe et…
Ma mère m’a appris à faire tout ça avec dignité et une certaine classe, des comportements un peu snob qui énervaient la plupart des autres employées, mais c’est sûrement pour ça que j’étais devenue rapidement la deuxième préférée, j’avais déjà, à l’époque l’ambition de détrôner la numéro un. Triste ambition, n’est-ce pas ?
Tout a changé vers mes vingt ans, exceptionnellement j’étais allée à domicile cette fois-ci, je rentrais assez tard, une tenue qui se voulait chic avec des matériaux bas de gamme, seuls mes cheveux étaient bien coiffés après avoir été tirés dans tous les sens. Un groupe d'hommes avaient essayé de m’accoster dans cette nuit sombre, le début du jour n’allait pas tarder à se pointer, je ne travaillais pas, pourquoi leur donner ce qu’ils voulaient ? Ils n’allaient même pas payer ! Alors, avec classe, sans vraiment de tact, d’élégance et avec férocité, j’avais envoyé balader ce petit groupe. J’étais sûre de moi, ma mère m’a apprise à l’être, je n’avais pas peur, sûrement de la stupidité en y repensant… Mais, de quoi pourrais-je avoir peur ? Me faire agresser ou pire… ? Haha, je vous adresse un sourire moqueur : c’était mon travail. Et puis mourir, n’était-ce pas au final une délivrance… ? Alors oui, quand cette peur disparaît, on se sent quasiment intouchable.
Et c’est là que la scène s'est passée, les rues de Paris encore endormies, une ombre, des crocs, une morsure, pas cette douleur de plaisir dont j’avais si l’habitude, non, elle faisait beaucoup plus… mal. La scène a été très vite, tellement que quand je me suis réveillée ou plutôt, les souvenirs dont je me rappelle, sont ceux d’une grande chambre, assez luxueuse. Il y avait même une femme de chambre qui est venue me réveiller et m’apporter de quoi me changer, comme si c’était… Normal ? Comme si ça faisait partie de mon quotidien, comme si tout mon passé n’avait été qu’un mauvais rêve. Alors que mon corps, habitué à sortir de draps de lin, je caressais pour la première fois de véritable draps en soie.
J’ai très vite appris la suite : mon existence ne serait plus jamais pareille. Une énorme soif, une sensibilité encore plus accrue et le teint légèrement blafard… Il m’avait sorti de cet enfer pour me plonger dans un monde encore plus noir, plus sombre. Il, c’est mon créateur, celui qui a fait de moi ce que je suis aujourd’hui ; Primogène d’un clan très respecté parmi des… Vampires. Voilà ce que je suis aujourd’hui… ?
Il m’a fallu quelques années pour m’y faire, pour essayer de ne pas vouloir tuer tout ce que je voyais, de me calmer et de réussir à me contrôler… Mon caractère était devenu plus dur, plus froid, même si, des grands sourires, ça, je sais faire. Je n’ai aucun respect pour la vie humaine, je marche sur les gens, je marche sur toutes les créatures qui se mettent sur mon chemin… Mon Sire, il n’a pas forcément été des plus tendres, je ne sais même pas comment définir notre relation à part que grâce à lui, je suis écoutée par les autres, que j’ai commencé à me faire une petite place dans cette communauté. En partie grâce à lui, vous voyez mes ongles longs… ? Ils ne sont pas forcément là que pour faire beau. Je sais me fondre dans une réunion, je sais sourire et faire ce qu’on me demande mais… même dans un monde de ténèbres il y a des parts d’ombre plus profondes. Les humains sont à mes yeux des insectes insignifiants, je n’hésite pas à les utiliser, les écraser, d’ailleurs, les autres vampires aussi mais avec plus de… Comment dire, de subtilité ? Comment pensez-vous que j’ai réussi en si peu de temps à me créer ma propre maison de bijoux de luxe ?
Je n’ai aucune attache, je veux créer un monde comme je l’entends, leur montrer qui doit commander. Pourquoi doit-on s’écraser face à ces humains qui se pensent au-dessus de tout… ? Leurs stupides lois de faible vampire ? Un jour, c’est moi qui les changerais.
A quoi ressembles-tu ? Beaucoup de personnes diront que je suis grande, même si j'atteins à peine les un mètre soixante-quinze, j’ai une aura, dû moins j’aime à le croire, assez imposante et impressionnante pour les plus bas vampire, mon clan, ma caste si je peux dire à certes l’habitude de voir des gens comme moi mais… Je veux en imposer. Mon visage est ovale, j’ai des petites pommettes qui ressortent et les joues légèrement creusées, mes lèvres sont légèrement pulpeuses, je me maquille toujours, rendant mes yeux charbons et mes lèvres rouges comme après une morsure. Mes cheveux sont blancs avec des reflets gris, j’arbore toujours un style ancien, un peu victorien… Il faut dire que dehors je ne passe pas inaperçu, même si j’essaye de mettre parfois des vêtements modernes mais toujours dans un style… comment appellent-ils ça… Gothique ? Comme si cette mode avait quelque chose à voir avec le magnifique style des églises ou du baroque.
Mes ongles sont longs avec du vernis, j’attache souvent mes cheveux en tresses couronnes, sinon ils sont détachés et quand j’assiste à des soirées, je les boucles légèrement.
AmbitieuseSûre d'elleComédienneMaternelleBonne amante
MenteuseManipulatriceBêcheuseOpportunisteEgoïste
Comment as tu été étreint ? C’est peut-être mon caractère ou ma capacité à ne pas me laisser faire qui a attiré le Primogène des Ventrues à venir me mordre, c’était dans une nuit, peut-être vers cinq heures du matin, c’est juste après m’être débarrassée d’un groupe indésirable. Il m’a coincé dans cette rue, mes souvenirs sont assez flous mais je me souviens de son regard glacial, de ses canines, c’était peut-être la première fois que j’avais aussi peur, que j’ai réellement ressenti de la peur. Depuis je suis connue de beaucoup de personnes comme son toutou, au moins on me respecte et mon nom est sur quelques bouches.Qu'est-ce qui t'as le plus manqué de ta vie de mortel ?Absolument rien. Peut-être le droit de rêver et d’imaginer une vie plus simple ? Ah si, maintenant je ne pourrais plus détrôner ma mère.
Qu'est-ce que tu apprécies de ta nouvelle vie ? Ce contrôle, cette prestance et la sensation de pouvoir dominer d’autres personnes. Et évidemment Plasma, mon Peterbald, la seule créature avec qui j’accepte le contact avec plaisir et où je peux… mh, me laisser aller à la tendresse.
Quel est ton type de prédilection ?Evidemment que je ne vais pas mélanger mon sang à celui de simples mortels… je charme, je trompe, je promets des choses, je mens, on peut dire que mes victimes me le donnent en général avec consentement. (Lamproie - Se nourrir sur d'autres vampires)Quel est ton refuge ? J’ai un grand appartement, un quatre pièces dans l’ouest de Paris (8e) en penthouse avec une terrasse. Il est richement meublé avec des meubles anciens de luxe, j’ai un grand lit en baldaquin et assez de place pour recevoir des invités dans mon salon et salle à manger… Comme vous dire que je m’y sens seu- bien. Oh, j’ai une chambre d’amis aussi. Pour… accueillir quelqu’un. Et il y a même un petit espace bureau que j’ai aménagé pour Plasma, il y a tout dont il peut avoir besoin.Qu'est-ce que tu désir ? Lier des alliances suffisamment fortes avec les différents clans pour renforcer mon influence.
Quel est ton ambition ? Devenir une Primogène… voir plus.
Qu'est-ce que tu apprécies de ta nouvelle vie ? Ce contrôle, cette prestance et la sensation de pouvoir dominer d’autres personnes. Et évidemment Plasma, mon Peterbald, la seule créature avec qui j’accepte le contact avec plaisir et où je peux… mh, me laisser aller à la tendresse.
Quel est ton type de prédilection ?Evidemment que je ne vais pas mélanger mon sang à celui de simples mortels… je charme, je trompe, je promets des choses, je mens, on peut dire que mes victimes me le donnent en général avec consentement. (Lamproie - Se nourrir sur d'autres vampires)Quel est ton refuge ? J’ai un grand appartement, un quatre pièces dans l’ouest de Paris (8e) en penthouse avec une terrasse. Il est richement meublé avec des meubles anciens de luxe, j’ai un grand lit en baldaquin et assez de place pour recevoir des invités dans mon salon et salle à manger… Comme vous dire que je m’y sens seu- bien. Oh, j’ai une chambre d’amis aussi. Pour… accueillir quelqu’un. Et il y a même un petit espace bureau que j’ai aménagé pour Plasma, il y a tout dont il peut avoir besoin.Qu'est-ce que tu désir ? Lier des alliances suffisamment fortes avec les différents clans pour renforcer mon influence.
Quel est ton ambition ? Devenir une Primogène… voir plus.
Carte Vampirique
Age vampirique :118 ans Secte : Camarilla
Clan : Ventrue Discipline : A REMPLIR APRES VALIDATION
Humanité : 3 Influence : 3
Avatar : Générée par AI tools ━ Gladys de Rohan
@ Mascarade
FélicitationGladys de Rohan tu es validée !
Bienvenue dans le Monde Ténèbres, tu vas pouvoir rejoindre cette danse macabre. N'oublies à aucun moment que tu peux mourir une ultime fois et laisser tout ce que tu possèdes, y compris ton âme damné. Mais d'abord, tu acquières une humanité de 3 et une influence de 3. Tu as 3 points à répartir dans les disciplines de ton clan. (en savoir plus)
Lier des alliancesdésir
Objectif : Comme une araignée qui tisse sa toile il va te falloir de la patience pour arriver a ton objectif. Si tu souhaites renforcer ton influence, une bonne manière est de... proposer tes faveurs. Accomplis des faveurs pour 3 PJ différents et tu arriveras a ton but.
Bonus : Certains voudront se faire bien voir de toi, dans un Elysium, tu trouveras toujours un vampire pour t'offrir son sang. Tu n'auras pas besoin de chasser.
Bonus : Certains voudront se faire bien voir de toi, dans un Elysium, tu trouveras toujours un vampire pour t'offrir son sang. Tu n'auras pas besoin de chasser.
Devenir une Primogèneambition
Objectif : Quelle lourde ambition que celle-ci. Il te faudra une influence de 5.
Malus : Rêver de grandeur c'est bien mais c'est aussi très dangereux. Nombreux sont ceux et celles qui chercherons à t'en empêcher. Lors d'un affrontement, tes adversaires seront deux fois plus nombreux, tu lanceras 2 dés de combat au lieu d'un et choisi le pire.
Malus : Rêver de grandeur c'est bien mais c'est aussi très dangereux. Nombreux sont ceux et celles qui chercherons à t'en empêcher. Lors d'un affrontement, tes adversaires seront deux fois plus nombreux, tu lanceras 2 dés de combat au lieu d'un et choisi le pire.
Bon toutoudette
Dette : Un Ventrue doit toujours renforcer sa position au sein du pouvoir. Toujours. Et ça, ton sire te l’as bien fait comprendre. En plus, tu lui en dois une. Intègre la sphère politique des mortels et invite les a une réception pour lui.
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