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Le Baron ou la Noblesse dans la Fange

@ Le Baron

Le Baron
Membre
Ressources : 31
Clan : Nosferatu

Feuille de personnage
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Influence: 3
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10.09.23 21:20
Carte Mortel
Surnom : Le BaronNom :de PardacPrénom: Hubert
Âge : indéfinissable
Genre : masculinNationalité : Française
Occupation/métier : Antiquaire Sexualité : Asexuel
Zone de Paris : En dessous, Ivry, Limousin
“Le mal, c'est quelque chose de toujours possible. Et le bien, c'est quelque chose d'éternellement difficile.” Anne Rice
Racontes moi ta vie ?

Avant l’Étreinte

Hubert Pardac naît dans une très riche famille de négociants limougeauds spécialisés dans l’extraction et la vente de plomb. Son père réussit si bien qu’il achète sa noblesse. La particule tant convoitée ouvre les portes d’écoles d’élite, de l’armée et du clergé à ses enfants. Hubert, l’aîné de la famille, sera désigné pour succéder à son père. Marié à dix-sept ans avec l’héritière d’une baronnie désargentée du Périgord, il monte à Paris pour vendre son minerai. A cette époque le plomb, facilement malléable, est très utilisé. Hubert trouve facilement de nouveaux partenaires et des investisseurs qui lui permettent d’améliorer ses mines et d’augmenter ses bénéfices. Il fait partie de ces nouveaux nobles que les anciennes familles traitent de parvenus.

Il ne fréquentera jamais la haute noblesse mais se liera d’amitié avec un lord Westham, un britannique un peu farfelu qui ne sortait que la nuit. Sans qu’il ne s’en rende compte, les affaires d’Hubert furent de plus en plus étroitement associées avec celles de l’anglais. En plus de son commerce de plomb, il devint une sorte de secrétaire personnel du lord. Le jugeant digne de confiance, Westham décida de lui révéler sa véritable nature et lui proposa de devenir sa goule. Hubert accepta, déjà asservi par la vitae qui avait sur lui l’effet d’une drogue puissante.

Devenu goule, Hubert accompagnait son maître partout, autant en Angleterre qu’en France. Il découvrit une facette de la société cachée au monde, ce qu’il considère comme le vrai pouvoir. Il était empli de fierté d’avoir été reconnu par un Ventrue qui l’élèverait au faîte de la fortune et de la puissance. Car Westham le lui avait promis : il deviendrait un jour son infant.


L’Étreinte

Ceux qui pensent que la révolution française est un mouvement spontané des masses populaires françaises sont de grands naïfs. 1789 avait mal commencé : une famine, un pays endetté et la populace qui s’en prend aux institutions du pays. Les citoyens sont égaux. Une belle formule sur le papier mais bientôt on vient s’en prendre à ceux qui ont la chance d'avoir plus, les traitant de profiteurs. Ameutés par des Anarchs et des Sabbatiques, des bandes fanatisées s’en prennent à des hôtels particuliers, pillent et brûlent ce qui se trouve à l’intérieur. C’est ainsi qu’Hubert et son maître furent pris au piège dans la luxueuse demeure de Westham. Le limougeaud se souviendra toujours de la terreur qu’il avait ressenti quand il avait vu les boiseries s’embraser et son maître courir, tous crocs dehors, pour trouver une issue. Le plafond s’écrasa sur le dallage, emportant l’anglais dans un râle monstrueux. Hubert, blessé,  réussit à rejoindre la porte de service des domestiques et l’ouvrit. Face à face avec un groupe de caïnites il fut empoigné et traîné dehors. Se passant le corps d’Hubert comme un pichet, ils le vidèrent de son sang en riant. Jeté sur le pavé, il savait que son heure était arrivée. Il s'abandonna aux ténèbres en tombant dans l'inconscience.

Humidité. Relents d’excréments et de moisissure. Mais surtout une douleur atroce dans tout son corps. Ses propres cris résonnaient dans ses tympans. Puis la faim, insatiable, tenace, qui vous pousse à avaler des quantités prodigieuses de sang. Hubert savait ce qu’il était devenu : un vampire. Mais quand il ouvrait les yeux pour regarder ses mains, elles étaient grises comme celles d’un cadavre putréfié. Et son corps le faisait souffrir, comme si ses membres s’étaient étirés. En tâtonnant sur les murs il réalisa qu’il était enfermé dans un cachot sombre avec une porte en fer. Plusieurs fois par nuit il recevait du sang qu’il avalait goulûment à travers une trappe.

Enfin une voix désagréable l’encouragea à sortir, sous la menace d’être à nouveau enfermé s’il se tenait mal. Lui, Hubert de Pardac, ancienne goule de lord Westham, mal se tenir ? Il rajusta sa redingote crasseuse et marcha d’un air distingué dans les tunnels. Il n’était pas le seul à être enfermé : derrière des portes de cachots il entendait des cris et des supplications. La petite créature qui lui servait de guide allait de droite à gauche dans un labyrinthe de couloirs pour enfin descendre dans les catacombes. Dans une grande salle vide se tenait le primogène. Hubert l’avait reconnu pour l’avoir croisé à l’Elyseum.  Ils ne s’étaient jamais parlé, l’étiquette Ventrue interdisant à une goule de s’adresser directement à un vampire d’un rang aussi élevé.

Il apprit alors comment les indics des Nosferatus, qui surveillent presque tous les refuges des caïnites, avaient informé les Rats de l’attaque contre lord Westham. Ils avaient mis en fuite les assaillants alors que Hubert gisait inanimé sur le pavé. Désormais il était l’un des leurs, dans la grande famille des Rats. Hubert bredouilla des remerciements puis il fut conduit dans une sorte de chambre : une paillasse miteuse, une chaise dont l’assise en paille sentait le moisi et une table bancale. Devant ce spectacle Hubert se sentit pris d’une grande colère : comment lui, qui aspirait à rentrer dans le meilleur des clans avait-il fini aussi bas ? N’aurait-on pas dû le laisser mourir sur le pavé ?


La Révolution

Pourquoi lui ? Cette question hanta Hubert pendant un bon moment. N’osant la formuler à haute voix par peur qu’on le prenne pour un ingrat et qu’on le renvoie dans son cachot puant, il cherchait à comprendre ce qu’on voulait de lui. La camarilla avait besoin de combattants ; mais Hubert n’avait jamais été soldat. D’autres que lui partaient en expéditions punitives contre le Sabbat. Il remarqua aussi que le frontière était mince entre les camaristes et les anarchs. Rejetés quelle que soit leur secte, les Rats se regroupaient pour trouver un semblant de camaraderie. Ainsi les informations circulaient et chacun pouvait en tirer profit. Hubert fut étonné quand des pouilleux à qui il n’aurait même pas donné un sou dans la rue lui manifestèrent une sorte d’affection fraternelle en partageant une bolée de sang. Contrairement aux Ventrues dont le clan est très hiérarchisé et soumis à une étiquette stricte, Hubert se trouva projeté dans un monde où chacun a sa place et son importance. Il lui fallut quelques années pour se faire à cet esprit égalitaire.

Malgré son apparence devenue monstrueuse, il refusa de se laisser aller à porter des guenilles. En échange de cours de lecture on lui apporta de beaux habits et une canne. En raillant on l’appela l’aristo, le rupin mais Hubert rectifia rapidement : il était Le Baron. Et rien d’autre. Le surnom resta et tout le monde oublia Hubert de Pardac.

Hubert s’aperçut bien vite qu’il faisait partie des rares lettrés du clan. Il avait aussi un don pour les affaires qui lui permit d’amasser rapidement un petit magot. La situation politique ne n’arrangeant pas, les aristocrates fuyaient la France. Renseigné par le réseau des Nosferatus, le Baron mit en œuvre des casses visant à vider les meubles des habitations, piller les objets d’art et les entreposer en sous-sol. Les biens des vampires restaient bien protégés le temps que leurs propriétaires reviennent et les rachètent à prix d’or. Les biens des mortels étaient estimés, les œuvres d’art mises de côté et le reste vendu sur la place publique. Il accumula les assignats quand leur cours devint dérisoire et deviendra propriétaire… De sa propre demeure familiale à Pardac que son héritier avait abandonné.

Le Baron passa quasiment sous terre la période de la Révolution et de l’Empire. Il aimait Napoléon, un homme à poigne qui avait su remettre de l’ordre dans tous les pans de la société sans reproduire les injustices de l’Ancien Régime. Un type épatant que cet empereur : travailleur, intelligent mais surtout ambitieux. Un véritable Ventrue en somme… Malheureusement son appétit expansionniste eut raison de son empire et la France retrouva la royauté.


Le XIXème siècle

Louis XVIII ramena dans ses valises bon nombre d’exilés qu’ils soient vivants ou non. Le Baron ne se fit pas que des amis quand il expliqua aux propriétaires de biens spoliés qu’ils devaient s’acquitter d’une taxe pour retrouver leurs possessions mises à l’abri. Mais comme il savait manier les mots, qu’il n’était pas aussi miséreux que beaucoup de ses congénères Rats et qu’il semblait avoir un charisme naturel dû à sa naissance, on ne lui tint pas rigueur longtemps. Des amateurs d’art ravis lui achetèrent les œuvres qu’il avait récupérées chez les humains durant la Terreur.

Conjuguant affaires et soirées mondaines, le Baron a pris l’habitude de fréquenter les Elyseums. Il est devenu une sorte d’interface entre des membres de clans désireux d’information mais ne souhaitant pas être vus en public avec des Rats pouilleux. Dandy toujours tiré à quatre épingles, aristocrate libéral, amateur d’art, anglophone accompli, homme d’affaire… On en oublierait presque son apparence.

Durant le règne de Charles X le Baron établit un peu plus précisément les contours de son entreprise d'Antiquités et de Curiosités. Son équipe récupère des objets oubliés dans des caves, des surplus d’entreprises et parfois des objets tombés du camion pour les revendre au détail. Le Baron travaille aussi sur commande, mais refuse toute mission de cambriolage, Camarilla oblige prétend t’il. Ce qui ne l’empêche pas de recommander des adresses de professionnels qui pourraient effectuer ce genre de travail spécialisé. La rémunération peut se présenter de trois façons : le troc, en espèces ou en secrets (qu’ils soient financiers, politiques, vampiriques tant qu'ils sont utiles).

Il est généralement admis que le Baron sait beaucoup de choses sur beaucoup de gens (ce qui peut le rendre dangereux) et qu’il a en sa possession des objets extraordinaires. Légende ou vérité ? le Baron ne confirme et n’infirme jamais. Il est par contre connu pour son élégante discrétion. Ce n'est pas un anonyme dans son clan et son Primogène le salue devant tous lorsqu'ils se croisent à l'Elyseum.

Le Baron n’oublia pas ses frères et sœurs Nosferatus. Au long du XIXème siècle il tentera d’améliorer la vie du clan en proposant une vaste campagne d’alphabétisation, un début d’indexation de fiches de renseignement sur les personnes d’intérêt ou encore l’installation du télégraphe. Le Baron fut l'un des fervents défenseurs de la modernisation des égouts en parallèle avec la construction du nouveau Paris à la surface lors du Second Empire. Cette révolution souterraine fut différemment appréciée selon l’âge des vampires : les anciens avaient peur qu’un mortel détruise leur refuge alors que les plus jeunes étaient heureux de circuler d’un bout à l’autre de Paris sans remonter à la surface.

Le Baron ne se mêlait pas aux diverses révolutions qui eurent lieu durant ce siècle. Beaucoup de théories, séduisantes pour les plus modestes, entraîneraient une guerre civile. Il revendiquait une politique sociale avec la redistribution d’une partie de ses bénéfices vers le clan, mais se méfiait des plus extrémistes des jeunes Rats prêts à tout pour conquérir la surface et rebattre les cartes de la société. Il comptait sur la science et l’éducation pour tirer le clan vers le haut plutôt que par la violence.


XXème et XXIème siècles

La belle époque et la première guerre mondiale furent des années fastes pour les affaires mais le jeudi noir de 1929 fut le point de départ d’une crise économique sans précédent. Mortels et vampires subissaient une récession durable qui fit chuter son chiffre d’affaire. Qu’à cela ne tienne, il se faisait rémunérer en confidences ou en œuvres d’art Toréador mais ça ne vidait pas ses stocks. La misère excitant les revendications des extrémistes de droite et de gauche, il y avait de véritables combats de rue après chaque manifestation. Nul doute que des Brujahs vindicatifs, des Anarchs ou des Sabbatiques étaient derrière tout ça. Mais les choses tournèrent à la catastrophe en 1935 quand quelqu’un envoya un cocktail molotov dans son entrepôt. Furieux d’avoir été pris pour cible le Baron réorganisa d’abord la sécurité autour de ses bâtiments et les déménagea hors de Paris, en banlieue. Ensuite il mena son enquête qui pointa vers un groupuscule d’extrême droite Brujah. Trop bien soutenus par des sympathisants camaristes de poids, le Baron ne put les éradiquer. Mais il remâcha sa vengeance pendant de longues années.

1940 fur une fête pour les sympathisants hitlériens vampires comme mortels. Beaucoup de caïnites ne partageant pas leurs idées fuirent la capitale. Tous ? Non, un petit groupe d’irréductibles resta en France. Le Baron fit semblant de fuir à l’étranger mais se retrancha dans le Limousin. Il traversa plus d’une fois la ligne de démarcation à destination de Paris et de Londres. D’autres Nosferatus le suivirent : cachés dans des caves ou au fond de vieilles mines, personne ne pourrait soupçonner l’installation d’un nid de libertaires laids à faire peur. Pendant quatre ans ils furent de ceux qui résistèrent en produisant des faux papiers, transportèrent des messages, évacuèrent les civils ou placèrent les enfants chez les particuliers à la campagne. Les plus téméraires fournissaient des armes ou s’attaquaient frontalement aux nazis. La région ne fut pas épargnée par les Allemands qui, malgré les massacres, ne réussirent pas à exterminer les réseaux de résistance.

En 1945 la France était à genoux. Sorte de héros de guerre parmi certains, ennemi pour d’autres, le Baron retrouva ses pénates (visitées et fouillées sans succès) et ses affaires. Beaucoup de gens avaient disparu dans les convois de la mort ou avaient fui vers l’Espagne comme bon nombre de collaborateurs. D’autres s’adonnaient au marché noir. Quoiqu’il en soit, il y avait de nombreuses caves abandonnées à visiter car c’est l’endroit où les mortels cachent leurs biens les plus précieux et les moins avouables. En 1947 on retrouva une voiture incendiée sur un terrain vague. Les autorités vampiriques détermineront que les restes des victimes retrouvées dans le coffre seraient celles d’un groupe de Brujah d’extrême droite. Le Baron ne fut ni suspecté, ni inquiété.

Les Trente Glorieuses et l’arrivée de la consommation à outrance impacta ses affaires. Les gens achètent pour jeter. Ils se débarrassent des lampes Tiffany qui ne se vendent plus pour les remplacer par des néons blafards. Les jeunes le trouvent vieux jeu : pourquoi s’embarrasser avec des vieilleries ? Son activité n’est plus qu’une sorte de vide-grenier où l’on vient trouver des bibelots et des peintures amusantes. Produire plus, acheter plus, gagner plus. Bien que très commerçant, le Baron n’adhère pas à cette philosophie de l’ultra libéralisme. L’économie mondiale lui fait penser à la Bête, toujours affamée et désirant toujours plus de chair fraîche. Il se méfie des envolées boursières complètement déconnectées de la réalité du terrain. Le cours des matières premières n’est qu’un jeu spéculatif pour quelques nantis cachés dans leur Refuge ou à Monaco. Habitué des sous-sols et des ruelles glauques, il connaît l’envers du décor : la misère sociale, la drogue et la violence.

Enfin au XXIème siècle certains mortels ouvrent les yeux sur ce gâchis et ces monceaux d’ordures. Arrive un nouveau mot qui donne un nouvel élan à son entreprise : le recyclage. Le vieux est de nouveau in, on jette les néons polluants pour des lampes des années folles, on chine les bahuts centenaires qui durent plus longtemps que les meubles agglomérés suédois fabriqués en Chine. Son dépôt-vente à de nouveau la cote et les affaires reprennent.

A l’heure d’internet, il se forme à l’informatique. Bien que vieillissant, il est persuadé qu’il faut apprendre les outils d’aujourd’hui pour anticiper demain. Il adore se connecter au Schreknet, le réseau mondial d’information nosferatu ultraprotégé. Alors il se sent presque sentimental quand il repense à son réseau télégraphique parisien suburbain.  

A quoi ressembles-tu ? Avant ma transformation j’étais un gentilhomme de taille moyenne, d’allure distinguée mais sympathique. J’étais poudré, je portais la perruque et je ne sortais jamais sans mon chapeau ni mes gants évidemment. Aujourd’hui je n’ai plus le teint blanc mais grisâtre, mes oreilles se sont allongées en deux protubérances pointues, j’ai le nez aquilin d’un oiseau de proie, des pommettes saillantes et une mâchoire carrée qui me donnent un air dur. Mes dents se sont allongées et mes sourires sont carnassiers. Mes membres aussi ont soudain grandi et je mesure un mètre quatre vingt cinq. J’ai conservé une allure distinguée et chic.  
IntelligentElégantCultivéHumanisteOrganisé
LaidManipulateurMéfiantProfiteurDangereux
Comment as tu été étreint ? L’Étreinte aurait dû faire de moi un Ventrue respecté. Quelle ironie… Aujourd’hui je suis un Rat; j’ai été étreint par un vieux moine qui a refusé de me voir assassiné par des monstres sans foi ni loi. Il n’aurait pas dû. Ce bon vieux Donatius vit aujourd’hui en contemplation dans un recoin du sous-sol parisien. Il n’en est pas sorti depuis 1799. Qu'est-ce qui t'as le plus manqué de ta vie de mortel ? De mortel ou de vampire… N’importe quel Nosferatu vous répondra : mon apparence. Essayez de frayer avec les mortels avec ma tête ! Qu'est-ce que tu apprécies de ta nouvelle vie ? Appartenir à mon clan signifie avoir une certaine liberté. Ce n’aurait pas été possible dans le clan Ventrue. Je n’ai pas de comptes à rendre aux Anciens sauf si j’ai fait une grosse bévue. Il existe une forte fraternité entre Rats et l’appartenance à une faction ou une autre est secondaire. Il est assez facile d’obtenir de l’aide de la part d’un frère, mais assez rare que l’on offre spontanément la notre à ceux qui ne sont pas du clan. Quel est ton type de prédilection ? Je suis un opportuniste. Je peux acheter des poches de sang ou boire au cou d’une goule ou d’un mortel qu’un client m’aura prêté. Je hante l’Elyseum pour rassasier ma soif, il y a toujours de quoi se sustenter là bas. Pour finir, j’ai des employés dont certains ont déjà vu ma tête.Quel est ton refuge ? C’est top secret. Je n’ai pas un mais DES refuges dans les égouts, et non, ce ne sont pas des coins crasseux. Sinon vous trouverez ma recyclerie à Ivry sur Seine, rue Marcel Sallnave. Qu'est-ce que tu désires ? Excellente question. J’ai réussi à mener ma barque et j’ai une vie confortable. Continuer à aider le clan comme je le fais aujourd’hui et peut-être plus m’impliquer.Quelle est ton ambition ? M’en sortir. Sinon j’arrive à un âge où on aime se mêler de politique vampirique.
Carte Vampirique
Age vampirique : 220 ans + 35 ans en tant que goule Secte : Camarilla
Clan : Nosferatu Discipline : A REMPLIR APRES VALIDATION
Humanité : CHOIX STAFF Influence : CHOIX STAFF
Avatar : Sinister Businessman by MaxxFeral (IA)

Le Baron

@ Friedrich Vogt

Friedrich Vogt
Admin
Ressources : 80
Clan : Gangrel

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12.09.23 15:16
Bienvenue à toi vengeance

Un Nosferatu ça fait toujours plaisir (;
Hâte de voir ton personnage en jeu !

N'hésites pas à préciser plus ton désir et ton ambition pour que je puisse formaliser ses objectifs et y attribuer des bonus ou malus éventuel. Pour ton désir si tu souhaite aider ton clan je peut t'attribuer un genre de série d'objectif ? Pour l'ambition par contre je ne sais pas trop... Tu souhaiterais devenir primogène dans l'avenir peut être ?

@ Le Baron

Le Baron
Membre
Ressources : 31
Clan : Nosferatu

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12.09.23 22:24
Bonjour!

Je ne savais pas trop ce qu'il est possible de faire donc je suis restée un peu vague dans ses désirs et projets.

Je ne sais pas s'il y a un primogène en place, auquel cas le Baron tentera de devenir son bras droit (Éducation Ventrue, respect des anciens et tout ça ). Par contre si la place est libre, il pourrait le devenir puisqu'il a une certaine aisance sociale. A la Camarilla il peut briguer un poste, tant que ce n'est pas du combat. ça l'amuserait d'être nommé au nez et à la barbe des autres clans.

Pour aider le clan il peut mener des enquêtes, ramener des renseignements, accompagner les néonates dans leurs premières nuits de la vie de Nosfé (bien différente de celle des autres vampires), aider à créer un business, espionner d'autres vampires etc. Il peut rendre service à des frères Nosfés qui ne remontent quasiment jamais à la surface. En tout cas il s'impliquera dans l'enquête de l'évènement du Louvre ne serait-ce que par curiosité.

Au niveau des malus: les Nosfés savent beaucoup de choses sur beaucoup de monde, notamment des secrets embarrassants. Et plus la personne est haut placée, plus elle est gênée.
Le Baron n'a pas été inquiété dans l'incendie de la voiture en 1947; mais s'il y a des survivants du groupuscule, ils vont clairement le suspecter qu'il soit coupable ou non.

@ Mascarade

Mascarade
Admin
Ressources : 154
#
15.09.23 11:47
CamarillaNosferatu
Paris2023

FélicitationLe Baron tu es validé !
Bienvenue dans le Monde Ténèbres, tu vas pouvoir rejoindre cette danse macabre. N'oublies à aucun moment que tu peux mourir une ultime fois et laisser tout ce que tu possèdes, y compris ton âme damné. Mais d'abord, tu acquières une humanité de 4 et une influence de 3. Tu as 2 points à répartir dans les disciplines de ton clan et la possibilité de crée 3 PNJ.


Tout pour le clan désir
Objectif : Les Nosfératu ont besoin de gens comme toi. Tu es dévoué au clan et il t’en est reconnaissant. Accomplis 3 faveurs pour des Nosferatu (PNJ ou PNJ) pour passer à l’étape suivant.
Bonus : Partout où se trouve un Nosferatu (dans tout les coins obscures) tu trouvera des allies précieux. Quand c’est le cas lance deux dés au lieu d’un et garde le meilleur (pour les tests de combat et la chasse).


Devenir Primogèneambition
Objectif : Quelle lourde ambition que celle-ci. Il te faudra une influence de 5.Malus : Les autres clans se méfie des Nosferatu. Pour eux tu possèdes forcement des secrets qui vont leur faire du tord. Il te le fond payer, littéralement. Pour toute utilisation de ressource il te faudra le double.

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