Ma planque, mes règles - pv Camille
@ Friedrich Vogt
Clan : Gangrel
Feuille de personnage
Santé :
(4/5)
Humanité:
(3/5)
Influence: 1
Ma planque, mes règles
Firedrich ξ Camille
La fenêtre ouverte sur la nuit d’encre, un jeune homme au crâne rasé assit contre la rambarde, le son des voitures, l’odeur de la ville et de la fumée acre qui s’échappe la cigarette. Firedrich l’a tient éloigné de lui, le bras tendu vers l’extérieur. Il a peur de cette extrémité rougeoyante. Mais il s’agit d’un défi, une rébellion contre sa Bête qui s’agite. Une voix le détourne de ses tournements intérieurs.
- Tu as lue Ane Rice ?
Fried lève les yeux aux étoiles. Qu’as t’elle en tête encore ? Il crache une dernière volute de fumée et écrase son mégot sur le sol de la terrasse.
- Tu as finie tes devoirs ?
A peine à t-il prononcé ses mots, dos à elle qu’elle maugrée. Le vampire profite qu’elle ne voit pas sa tête pour sourire. Il sait pertinemment qu’elle n’aime pas qu’il l’a traite comme une gamine. S’il était honnête avec lui-même, il n’aimerait pas non plus. Mais il estime qu’avec plus d’un siècle d’écart, il peut s’autoriser tuteur exigeant.
Elle est majeur, il est vrai, cependant pour lui, elle a encore largement le temps de profiter de sa jeunesse et de déléguer ses responsabilités. Surtout que de toute façon, elle n’en fait qu’a sa tête.
- Bien sûr. Tu veux que je te lise mon exposé sur les activités d’un vampire asocial au 21ème siècle ?
Il se retourne aussi tôt pour faire les gros yeux. Elle affiche son regard le plus innocent du monde, un bol en carton chaud de nouilles instantanées entre les mains. Elle est comme lui assise sur le sol. Il faut dire qu’ils n’ont pas beaucoup de meubles dans ce vieil immeuble abandonné.
- Ecoute si tu…
Il s’interrompt en pleine phrase, le doigt encore dirigeait vers elle. Il vient d’entre un bruit de pas. Même plusieurs. Il se relève d’un bon et lui indique de se planquer dans la pièce d’à côté, d’un geste autoritaire. Ca elle ne le contredit pas. Elle sait obéir sans discuter quand il le faut. Friedrich s’approche tout doucement de l’entrée. Le parquet craque un peu sous le sol poussiéreux. Il est debout à côté de la porte, tendu, aux aguets. Essun ne l’aidera pas, elle est allé voler de son côté.
- Tu as lue Ane Rice ?
Fried lève les yeux aux étoiles. Qu’as t’elle en tête encore ? Il crache une dernière volute de fumée et écrase son mégot sur le sol de la terrasse.
- Tu as finie tes devoirs ?
A peine à t-il prononcé ses mots, dos à elle qu’elle maugrée. Le vampire profite qu’elle ne voit pas sa tête pour sourire. Il sait pertinemment qu’elle n’aime pas qu’il l’a traite comme une gamine. S’il était honnête avec lui-même, il n’aimerait pas non plus. Mais il estime qu’avec plus d’un siècle d’écart, il peut s’autoriser tuteur exigeant.
Elle est majeur, il est vrai, cependant pour lui, elle a encore largement le temps de profiter de sa jeunesse et de déléguer ses responsabilités. Surtout que de toute façon, elle n’en fait qu’a sa tête.
- Bien sûr. Tu veux que je te lise mon exposé sur les activités d’un vampire asocial au 21ème siècle ?
Il se retourne aussi tôt pour faire les gros yeux. Elle affiche son regard le plus innocent du monde, un bol en carton chaud de nouilles instantanées entre les mains. Elle est comme lui assise sur le sol. Il faut dire qu’ils n’ont pas beaucoup de meubles dans ce vieil immeuble abandonné.
- Ecoute si tu…
Il s’interrompt en pleine phrase, le doigt encore dirigeait vers elle. Il vient d’entre un bruit de pas. Même plusieurs. Il se relève d’un bon et lui indique de se planquer dans la pièce d’à côté, d’un geste autoritaire. Ca elle ne le contredit pas. Elle sait obéir sans discuter quand il le faut. Friedrich s’approche tout doucement de l’entrée. Le parquet craque un peu sous le sol poussiéreux. Il est debout à côté de la porte, tendu, aux aguets. Essun ne l’aidera pas, elle est allé voler de son côté.
@ Camille Garnier
Clan : Toréador
Feuille de personnage
Santé :
(5/5)
Humanité:
(4/5)
Influence: 3
Deux grands coups résonnent sur la porte en bois, tellement forts que des grains de poussières tombent sur la tête de Friedrich. Une voix rageuse de femme, mais mélodieuse, tonne derrière.
- M. Vogt !! Ouvrez cette porte, nous avons à parler !
Quelques pas crissent sur le parquet, plus doux. En tendant bien l'oreille, il entend une voix pleine, encore une femme, plus chaleureuse et plus enivrante. La voix de la première grésillait presque sous sa colère, alors que celle-ci était, ma foi, bien plus agréable. Un coup d'œil par la serrure miteuse ne servirait à rien, car la plus incorruptible des deux est plantée juste devant, à moins que Friedrich veuille observer plus en détail un bouton de manteau d'un noir éclatant.
- Juliette, sois cool. Ne l'accuse pas à tort. Interroge-le calmement.
Un grognement s'entend en réponse. Suit ensuite un silence de plomb.
@ Friedrich Vogt
Clan : Gangrel
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(4/5)
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(3/5)
Influence: 1
Ma planque, mes règles
Firedrich ξ Camille
Qu’il ouvre ? Et puis quoi encore… « Comment sait-elle que je squatte ici… Nous y sommes à peine depuis deux semaines. Et c’est qui ce nous ? » Friedrich regarde de droite à gauche pour remarquer s’il y voit un signe de la présence d’Alix. Non les duvets de camping son dans l’autre pièce… Puis son regard tombe sur la boite de pates par terre. Bon, ça pourrait aussi bien être la sienne. « Sauf s’il s’agit des abrutis de Leny. Surtout à cette heure. »
Puis une seconde voix intervient. Donc la première s’appelle Juliette s’il ne s’agit pas d’un pseudonyme. Curieuse approche pour des sbires de Leny. Mais certains ne sont pas idiot, il s’agit peut être d’une mise en scène. Friedrich laisse passer un silence. Puis il réplique sur un ton calme mais suffisamment haut pour se faire entendre.
- J’ai invité personne c’soir, cassez vous. Et connais pas de Vogt.
Il se pose dos au mur. Si jamais il y en a qui fait mine de défoncer sa porte, il choppe la première tête qui se présente et il l’a fracasse. Ce n’est pas le moment de jouer dans la dentelle. En attendant il se la ferme un peu pour essayer d’entendre combien ils sont de l’autre côté. Peu selon lui – ou alors très discret.
Il n’a pas l’avantage du nombre mais il prévoit toujours une porte de sortie au cas où. S’il est acculé Alix sortira par la fenêtre de l’autre pièce. Ils ne sont qu’au premier étage, elle est jeune et débrouillarde, elle s’en sortira. Ou plutôt il n’a pas envie de penser à une autre possibilité.
Puis une seconde voix intervient. Donc la première s’appelle Juliette s’il ne s’agit pas d’un pseudonyme. Curieuse approche pour des sbires de Leny. Mais certains ne sont pas idiot, il s’agit peut être d’une mise en scène. Friedrich laisse passer un silence. Puis il réplique sur un ton calme mais suffisamment haut pour se faire entendre.
- J’ai invité personne c’soir, cassez vous. Et connais pas de Vogt.
Il se pose dos au mur. Si jamais il y en a qui fait mine de défoncer sa porte, il choppe la première tête qui se présente et il l’a fracasse. Ce n’est pas le moment de jouer dans la dentelle. En attendant il se la ferme un peu pour essayer d’entendre combien ils sont de l’autre côté. Peu selon lui – ou alors très discret.
Il n’a pas l’avantage du nombre mais il prévoit toujours une porte de sortie au cas où. S’il est acculé Alix sortira par la fenêtre de l’autre pièce. Ils ne sont qu’au premier étage, elle est jeune et débrouillarde, elle s’en sortira. Ou plutôt il n’a pas envie de penser à une autre possibilité.
@ Camille Garnier
Clan : Toréador
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Santé :
(5/5)
Humanité:
(4/5)
Influence: 3
- M.Vogt. Je suis de la même espèce que vous, je m'appelle Juliette Durieux, et je ne sais pas si vous me connaissez de réputation, mais je fais très très très attention aux conditions de vie des femmes, de mon espèce ou non d'ailleurs, et en particulier quand un caïnite masculin s'en prend à une femme. Mes petits oiseaux m'ont sussuré à l'oreille que vous déteniez une jeune fille dans des locaux insalubres. Je dirige une institution d'aides aux femmes battues ou en souffrance, et voyez-vous, une de mes protégées m'a parlé de votre Alix. Charmant endroit pour accueillir une jeune.
Le ton sec reste bas mais entendable de l'autre côté de la porte. Juliette gratte ses ongles contre la poignet à demi pourrie, sous le regard attentif de Camille. Cette dernière s'assoit contre le bord d'une fenêtre qui a pour vitre un carton trempé qui ne tient que par un fil. Une brise joue avec ses cheveux et lui remonte des odeurs déplaisantes de nourriture avariée et de tubes de peinture, certainement utilisés par les tagueurs du coin, mais qui avaient tourné, ou elle ne sait trop quoi. Son sang n'aime pas cette insalubrité. C'est trop sale ici. Un malaise latent s'installe dans sa poitrine.
Avec l'attitude agressive des deux vampires, elle allait y rester pendant un moment... D'un œil alerte, elle regarde les notifications sur son téléphone, les courbes de visionnage de ses vidéos YouTube, le nombre de ses abonnés, et elle se concentre sur la réponse de quelques commentaires. Autant faire quelque chose, sinon sa bête n'allait pas aimer de rester dans ce lieu pourri. Et elle ne fait pas confiance à Juliette - surtout quand elle la voit renifler la porte avec mépris - pour rester calme. Juliette reprend la parole.
- Je viens donc faire mon enquête. Ca peut être rapide, si vous y mettez du vôtre
@ Friedrich Vogt
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(4/5)
Humanité:
(3/5)
Influence: 1
Ma planque, mes règles
Firedrich ξ Camille
Voilà qui répond à certaines questions et en font émerger d’autres. Friedrich pousse un soupire non dissimulé et se décrispe un peu. Il croit de moins en moins à l’hypothèse : sbires de chef Anarch. Mais cette Juliette Durieux commence doucement à lui taper sur le système. Qu’est-ce qu’elle vient se foutre de ses oignons ? Alix va très bien, qu’est-ce qu’elle en sait ?
- Non j’te connais pas et ouais j’adore recevoir des leçons morales à la con.
Des petits bruits ténus de l’autre côté. La tête d’Alix qui dépasse de l’autre pièce. Elle a entendue son nom et la voilà curieuse. Contrairement au Gangrel, au lieu d’être énervé par cette intervention elle a l’air plutôt curieuse. Son protecteur lui fait de grand geste pour se planquer, elle lui tire la langue. Il ne manquait plus que ça. Par-dessus l’autre femme revient à la charge.
- Ou alors tu te casses et tu clôtures ton enquête de merde. Profites-en pour aller voir « tes petits oiseaux » et leur foutre un coup de boule de ma part. Qu’ils se renseignent ses branleurs.
Sur cet enchainement de punchline Alix glousse. Friedrich lui fait les gros yeux mais le mal est déjà fait, ils ont dû l’entendre. Pour essayer de camoufler ce bruit il donne un coup dans poing contre le mur et il enchaine aussitôt.
- Putain. Prend les suivantes sur ta liste elles ont vraiment besoin d’aide elles. Plutôt que me faire chier là.
- Non j’te connais pas et ouais j’adore recevoir des leçons morales à la con.
Des petits bruits ténus de l’autre côté. La tête d’Alix qui dépasse de l’autre pièce. Elle a entendue son nom et la voilà curieuse. Contrairement au Gangrel, au lieu d’être énervé par cette intervention elle a l’air plutôt curieuse. Son protecteur lui fait de grand geste pour se planquer, elle lui tire la langue. Il ne manquait plus que ça. Par-dessus l’autre femme revient à la charge.
- Ou alors tu te casses et tu clôtures ton enquête de merde. Profites-en pour aller voir « tes petits oiseaux » et leur foutre un coup de boule de ma part. Qu’ils se renseignent ses branleurs.
Sur cet enchainement de punchline Alix glousse. Friedrich lui fait les gros yeux mais le mal est déjà fait, ils ont dû l’entendre. Pour essayer de camoufler ce bruit il donne un coup dans poing contre le mur et il enchaine aussitôt.
- Putain. Prend les suivantes sur ta liste elles ont vraiment besoin d’aide elles. Plutôt que me faire chier là.